Abidjan - La première vice-présidente de l’Assemblée nationale de Côte d’Ivoire, Sako-Fadiga Sarah, estime que le financement du Projet d’appui au développement et à la compétitivité des entreprises de transformation des produits alimentaires locaux (PADEC/ETA) participe à ‘’l’autonomisation de la femme’’, à travers le développement des activités de celle-ci.
Lors de la cérémonie de lancement de ce projet, mercredi au siège de la Chambre de commerce et d’industrie, à Abidjan, Mme Sako-Fadiga a félicité les initiateurs du PADEC, affirmant qu’il s’inscrit sur l’axe de la promotion du genre prôné par le gouvernement ivoirien.
Financé par la Banque mondiale, le programme prévoit un appui financier à 12 entreprises reparties entre la Côte d’Ivoire, le Burkina et le Mali, dont quatre en Côte d’Ivoire qui bénéficient d’un prêt de 75 millions de FCFA. Il s’agit de leur permettre d’être plus compétitives sur les marchés nationaux et internationaux, mais également d’aboutir ‘’in fine’’ à l’autonomisation de quelque mille femmes des zones rurales.
Pour la coordonnatrice pays, la directrice de l’entreprise ‘’PRECUIT GLP", Coulibaly Alimata, ce projet constitue un appui pour les femmes en général, et en particulier pour les entrepreneures qui se battent quotidiennement en Afrique pour assurer la survie de leur famille et de la communauté. « Cette journée marque le départ d’un nouvel espoir pour les femmes entrepreneures», s’est-elle réjouie.
Le représentant de la Banque mondiale, Akandi Yao, a réitéré l’appui de l’institution au PADEC, qui, selon lui, entre dans une vision plus large de transformation des zones rurales.
Outre l’entreprise PRECUIT GLP, les ‘’Etablissements NADI’’, ‘’Etablissements KFM’’ et ‘’Youg Service’’ sont concernés par ce projet.
Lors de la cérémonie de lancement de ce projet, mercredi au siège de la Chambre de commerce et d’industrie, à Abidjan, Mme Sako-Fadiga a félicité les initiateurs du PADEC, affirmant qu’il s’inscrit sur l’axe de la promotion du genre prôné par le gouvernement ivoirien.
Financé par la Banque mondiale, le programme prévoit un appui financier à 12 entreprises reparties entre la Côte d’Ivoire, le Burkina et le Mali, dont quatre en Côte d’Ivoire qui bénéficient d’un prêt de 75 millions de FCFA. Il s’agit de leur permettre d’être plus compétitives sur les marchés nationaux et internationaux, mais également d’aboutir ‘’in fine’’ à l’autonomisation de quelque mille femmes des zones rurales.
Pour la coordonnatrice pays, la directrice de l’entreprise ‘’PRECUIT GLP", Coulibaly Alimata, ce projet constitue un appui pour les femmes en général, et en particulier pour les entrepreneures qui se battent quotidiennement en Afrique pour assurer la survie de leur famille et de la communauté. « Cette journée marque le départ d’un nouvel espoir pour les femmes entrepreneures», s’est-elle réjouie.
Le représentant de la Banque mondiale, Akandi Yao, a réitéré l’appui de l’institution au PADEC, qui, selon lui, entre dans une vision plus large de transformation des zones rurales.
Outre l’entreprise PRECUIT GLP, les ‘’Etablissements NADI’’, ‘’Etablissements KFM’’ et ‘’Youg Service’’ sont concernés par ce projet.