Suite à l’attaque de son siège, lundi à 13 heures Gmt et heure locale par des inconnus, le Front populaire ivoirien (FPI, ex-parti au pouvoir) attend que toute ‘’la lumière soit faite sur les motifs et les auteurs de cette agression barbare, qui n’honore aucunement la Côte d’Ivoire’’, indique un communiqué transmis, mardi, à APA.
Selon le texte, un groupe d'assaillants, au nombre d'une vingtaine, a fait irruption dans les locaux du siège provisoire du parti, ‘'armés au moins de kalachnikov'', pour l'un d'eux, de ‘'barres de fer et d'objets divers'' pour d'autres.
‘' Ils se sont attaqués au personnel présent sur place, notamment le député Kouakou Krah, Secrétaire National chargé de l'Administration qui a été blessé et délesté d'une forte somme d'argent ; Mademoiselle Litché Pamela, assistante de la Secrétaire Nationale chargée des finances et du patrimoine, qui a été également blessée'', indique le communiqué signé de Agnès Monnet, Secrétaire générale et porte-parole du FPI.
En attendant un état des lieux, pour lequel un huissier est commis (…), poursuit Mme Monnet, ‘' les dégâts sont importants : mobiliers de bureau détruits, matériels informatiques, (unité centrale, clés USB), sac à main, téléphones portables, documents etc… sont saccagés ou emportés. Une importante somme d'argent également emportée…''.
Après la saisine du procureur de la République, ‘'le FPI attend que la lumière, toute la lumière soit faite sur les motifs et les auteurs de cette agression barbare qui n'honore aucunement la Côte d'Ivoire'' s'indigne la Secrétaire générale du parti fondé par Laurent Gbagbo.
Par ailleurs, Agnès Monnet fait remarquer que ‘'parti du combat démocratique'', le FPI qui n'a jamais cédé à la ‘'provocation'' ni à la ‘'violence'', reste ferme sur ses objectifs, notamment, ‘'la libération du Président Gbagbo, la restauration de la Côte d'Ivoire et la reconquête du pouvoir d'Etat''.
L'agression intervient, 48 heures après une réunion du Comité central du FPI qui s'est terminée en ces lieux en queue de poisson. Elle n'a pu trancher la participation du parti à la Commission électorale indépendante (CEI).
Le gouvernement ivoirien a condamné, lundi soir, cette attaque armée perpétrée contre le siège du FPI, annonçant l'ouverture d'une enquête pour rechercher les auteurs afin qu'ils "subissent la rigueur de la loi".
HS/ls/APA
Selon le texte, un groupe d'assaillants, au nombre d'une vingtaine, a fait irruption dans les locaux du siège provisoire du parti, ‘'armés au moins de kalachnikov'', pour l'un d'eux, de ‘'barres de fer et d'objets divers'' pour d'autres.
‘' Ils se sont attaqués au personnel présent sur place, notamment le député Kouakou Krah, Secrétaire National chargé de l'Administration qui a été blessé et délesté d'une forte somme d'argent ; Mademoiselle Litché Pamela, assistante de la Secrétaire Nationale chargée des finances et du patrimoine, qui a été également blessée'', indique le communiqué signé de Agnès Monnet, Secrétaire générale et porte-parole du FPI.
En attendant un état des lieux, pour lequel un huissier est commis (…), poursuit Mme Monnet, ‘' les dégâts sont importants : mobiliers de bureau détruits, matériels informatiques, (unité centrale, clés USB), sac à main, téléphones portables, documents etc… sont saccagés ou emportés. Une importante somme d'argent également emportée…''.
Après la saisine du procureur de la République, ‘'le FPI attend que la lumière, toute la lumière soit faite sur les motifs et les auteurs de cette agression barbare qui n'honore aucunement la Côte d'Ivoire'' s'indigne la Secrétaire générale du parti fondé par Laurent Gbagbo.
Par ailleurs, Agnès Monnet fait remarquer que ‘'parti du combat démocratique'', le FPI qui n'a jamais cédé à la ‘'provocation'' ni à la ‘'violence'', reste ferme sur ses objectifs, notamment, ‘'la libération du Président Gbagbo, la restauration de la Côte d'Ivoire et la reconquête du pouvoir d'Etat''.
L'agression intervient, 48 heures après une réunion du Comité central du FPI qui s'est terminée en ces lieux en queue de poisson. Elle n'a pu trancher la participation du parti à la Commission électorale indépendante (CEI).
Le gouvernement ivoirien a condamné, lundi soir, cette attaque armée perpétrée contre le siège du FPI, annonçant l'ouverture d'une enquête pour rechercher les auteurs afin qu'ils "subissent la rigueur de la loi".
HS/ls/APA