Le Secrétariat national à la gouvernance et au renforcement de capacité (SNGRC) a changé, mercredi, de dénomination, a annoncé le gouvernement à l’issue d’un Conseil des ministres présidé le Chef de l’Etat Alassane Ouattara.
Selon le Porte-parole du gouvernement, Bruno Nabagné Koné, qui s’exprimait à l’issue de ce Conseil des ministres, le Secrétariat national à la gouvernance et au renforcement de capacité (SNGRC) change de dénomination pour devenir désormais, le Secrétariat national au renforcement de capacité (SNRC), dirigé par SindouMéïté.
Ce changement de dénomination, a poursuivi M. Koné par ailleurs ministre de la Poste, des technologies de l’information et de la communication, obéit à la mise en place de la Haute Autorité pour la bonne gouvernance.
La Haute Autorité pour la bonne gouvernance, se charge d’élaborer une stratégie nationale de lutte contre la corruption qu’elle met en œuvre. Par ailleurs, elle coordonne et supervise toutes les politiques de prévention et de lutte contre la corruption.
La Haute Autorité, dirigée par le Magistrat René François Aphing-Kouassi, recherche également les causes structurelles de la corruption afin de proposer des mesures capables de les annihiler aussi bien dans les services publics que parapublics. Elle fonctionne comme un Conseil pour la prévention de la corruption, assurant ainsi son rôle de moralisation de la vie publique.
LS/hs/APA
Selon le Porte-parole du gouvernement, Bruno Nabagné Koné, qui s’exprimait à l’issue de ce Conseil des ministres, le Secrétariat national à la gouvernance et au renforcement de capacité (SNGRC) change de dénomination pour devenir désormais, le Secrétariat national au renforcement de capacité (SNRC), dirigé par SindouMéïté.
Ce changement de dénomination, a poursuivi M. Koné par ailleurs ministre de la Poste, des technologies de l’information et de la communication, obéit à la mise en place de la Haute Autorité pour la bonne gouvernance.
La Haute Autorité pour la bonne gouvernance, se charge d’élaborer une stratégie nationale de lutte contre la corruption qu’elle met en œuvre. Par ailleurs, elle coordonne et supervise toutes les politiques de prévention et de lutte contre la corruption.
La Haute Autorité, dirigée par le Magistrat René François Aphing-Kouassi, recherche également les causes structurelles de la corruption afin de proposer des mesures capables de les annihiler aussi bien dans les services publics que parapublics. Elle fonctionne comme un Conseil pour la prévention de la corruption, assurant ainsi son rôle de moralisation de la vie publique.
LS/hs/APA