Les 293 agents licenciés de la mairie de Cocody ont réclamé hier, au cours d’une conférence de presse à Blockhaus, le paiement de leurs droits. « Nous voulons le paiement intégral de nos droits maintenant ! » a insisté Achille Gnahoré, porte-parole du collectif des agents licenciés de la mairie de Cocody (Calmac) qui a relevé l’impatience des agents qui ont été remerciés depuis le 15 juillet dernier.
Le conférencier n’a pas manqué de décrire le flou qui entoure cette mesure de licenciement. Il a expliqué que la décision, contrairement aux prescriptions, n’a pas été notifiée de façon claire aux agents de sorte que beaucoup n’ont appris leur licenciement que grâce à leurs collègues. «C’est le chef des gardes municipaux qui est venue dans la cour de la mairie pour procéder à la lecture du listing. Ceux qui ont entendu leur nom sont ceux qui restent. Le reste a été remercié », a-t-il avancé, en révélant que des agents ont travaillé pendant un mois avant d’être informés. Au sujet du paiement des droits, Achille Gnahoré a soutenu que les agents n’ont nullement été associés aux discussions avec l’inspection du travail.
César Ebrokié
Le conférencier n’a pas manqué de décrire le flou qui entoure cette mesure de licenciement. Il a expliqué que la décision, contrairement aux prescriptions, n’a pas été notifiée de façon claire aux agents de sorte que beaucoup n’ont appris leur licenciement que grâce à leurs collègues. «C’est le chef des gardes municipaux qui est venue dans la cour de la mairie pour procéder à la lecture du listing. Ceux qui ont entendu leur nom sont ceux qui restent. Le reste a été remercié », a-t-il avancé, en révélant que des agents ont travaillé pendant un mois avant d’être informés. Au sujet du paiement des droits, Achille Gnahoré a soutenu que les agents n’ont nullement été associés aux discussions avec l’inspection du travail.
César Ebrokié