Abidjan – Un jeune informaticien burkinabè du nom de Yiyé Constant Bazié, s’est attaqué à l’un des problèmes mathématiques de l’histoire, à savoir le « problème P = NP », jusque-là non résolu et considéré par de nombreux chercheurs comme un des plus importants problèmes du domaine.
Le chercheur a présenté, jeudi, un travail de recherche dans lequel il propose une solution à ce problème à travers une nouvelle méthode.
« Le problème P = NP » est un problème non résolu en mathématiques et particulièrement en informatique théorique, et est considéré par de nombreux chercheurs comme un des plus importants problèmes du domaine. L'Institut de mathématiques Clay a inclus ce problème dans sa liste des sept problèmes du prix du millénaire, et même promis une récompense financière à quiconque sera en mesure de prouver P = NP ou P ≠ NP. Ce problème est également le troisième problème de Smale.
C’est ce défi que le jeune chercheur burkinabè, Yiyé Constant Bazié a tenté de relever durant deux semaines de nuits blanches et en bravant de multiples difficultés, à travers sa présentation au siège du Festival panafricain du cinéma et de la télévision de Ouagadougou (FESPACO) à ses aînés et à ses proches avant qu’il ne soit soumis à l’appréciation de la communauté scientifique.
Selon l’analyste programmeur, la méthode consiste à intégrer des données selon un certain nombre de critères pour aboutir à un résultat.
Indiquant utiliser des « figures intelligentes » pour résoudre le problème, le chercheur a expliqué que cette méthode de calcul a de nombreux avantages pour le Burkina Faso en particulier et le monde en général.
« Cette méthode, si elle est valorisée, permettra par exemple aux entreprises qui livrent des produits à leurs clients d’être plus efficaces sur le terrain en optimisant les coûts des déplacements », a-t-il expliqué.
A l’en croire, les industries de production qui utilisent dans leurs chaînes des robots pourront aussi se l’approprier pour augmenter leur productivité. Il a par ailleurs ajouté que les utilisateurs pourront, sur la base de ce travail, mettre en place des logiciels qui seront plus ou moins rapides.
Pour l’heure, le jeune chercheur dit soumettre son travail à l’appréciation de la communauté scientifique afin de l’améliorer.
« Aujourd’hui je suis content qu’au niveau du Burkina, quelqu’un puisse proposer une solution à un problème qui est connu pour être parmi les plus difficiles dans le domaine des mathématiques. C’est déjà une fierté en attendant que les experts eux mêmes se prononcent. Comme il y aura des implications dans le domaine des transports et de la logistique je pense les gens pourront être intéressés», a-t-il dit.
Outre ce travail, M. Bazié a présenté au public deux autres recherches à savoir la mise en place d’une loi universelle permettant de calculer les collisions et la découverte de nombres nouveaux en mathématiques avec une certaine particularité s’apparentant à une variante de la division euclidienne.
cmas
Le chercheur a présenté, jeudi, un travail de recherche dans lequel il propose une solution à ce problème à travers une nouvelle méthode.
« Le problème P = NP » est un problème non résolu en mathématiques et particulièrement en informatique théorique, et est considéré par de nombreux chercheurs comme un des plus importants problèmes du domaine. L'Institut de mathématiques Clay a inclus ce problème dans sa liste des sept problèmes du prix du millénaire, et même promis une récompense financière à quiconque sera en mesure de prouver P = NP ou P ≠ NP. Ce problème est également le troisième problème de Smale.
C’est ce défi que le jeune chercheur burkinabè, Yiyé Constant Bazié a tenté de relever durant deux semaines de nuits blanches et en bravant de multiples difficultés, à travers sa présentation au siège du Festival panafricain du cinéma et de la télévision de Ouagadougou (FESPACO) à ses aînés et à ses proches avant qu’il ne soit soumis à l’appréciation de la communauté scientifique.
Selon l’analyste programmeur, la méthode consiste à intégrer des données selon un certain nombre de critères pour aboutir à un résultat.
Indiquant utiliser des « figures intelligentes » pour résoudre le problème, le chercheur a expliqué que cette méthode de calcul a de nombreux avantages pour le Burkina Faso en particulier et le monde en général.
« Cette méthode, si elle est valorisée, permettra par exemple aux entreprises qui livrent des produits à leurs clients d’être plus efficaces sur le terrain en optimisant les coûts des déplacements », a-t-il expliqué.
A l’en croire, les industries de production qui utilisent dans leurs chaînes des robots pourront aussi se l’approprier pour augmenter leur productivité. Il a par ailleurs ajouté que les utilisateurs pourront, sur la base de ce travail, mettre en place des logiciels qui seront plus ou moins rapides.
Pour l’heure, le jeune chercheur dit soumettre son travail à l’appréciation de la communauté scientifique afin de l’améliorer.
« Aujourd’hui je suis content qu’au niveau du Burkina, quelqu’un puisse proposer une solution à un problème qui est connu pour être parmi les plus difficiles dans le domaine des mathématiques. C’est déjà une fierté en attendant que les experts eux mêmes se prononcent. Comme il y aura des implications dans le domaine des transports et de la logistique je pense les gens pourront être intéressés», a-t-il dit.
Outre ce travail, M. Bazié a présenté au public deux autres recherches à savoir la mise en place d’une loi universelle permettant de calculer les collisions et la découverte de nombres nouveaux en mathématiques avec une certaine particularité s’apparentant à une variante de la division euclidienne.
cmas