Les audiences publiques de la Commission Dialogue, vérité et réconciliation (CDVR) ont effectivement démarré lundi, après le lancement le 27 août.
Ultime étape de la démarche de l’institution en charge de conduire le processus de réconciliation inter-ivoiriens, ces audiences publiques vont mettre en scène une centaine de victimes retenues parmi les "60.000" entendues lors de "séances d’écoute", préalablement conduites par la CDVR, qui vont être confrontées à leurs présumés "bourreaux", signale-t-on.
Ouverte à la "salle orchidées" de l’Ivoire golf club, l’audience du jour n’a pas été ouverte aux médias, bien que publique, a constaté l’AIP.
Seuls les cadreurs et autres preneurs d’images des organes nationaux et internationaux présents ont été autorisés à effectuer des vues de la salle avant le début des audiences.
L’impérative protection des témoins explique cette disposition, selon le président de la CDVR, Charles Konan Banny.
"Nous avons l’obligation de protéger ceux qui vont venir témoigner", a-t-il soutenu face aux journalistes désireux de comprendre les raisons pour lesquelles ils n’étaient autorisés à couvrir les auditions.
Les audiences seront enregistrées et seront diffusées, "une dizaine de fois en semaine", sur les antennes la chaîne de télévision nationale, a-t-il rassuré toutefois.
"Cette disposition n’entache en rien la transparence voulue par la CDVR autour de toute sa démarche et davantage autour de cette ultime étape", a tenu à préciser M. Banny avant d’en appeler à la "responsabilité" de tous.
Le fait que ces audiences soient ouvertes au public est un gage de cette volonté de transparence, a-t-il déclaré en sus.
Des journalistes, pour accéder à la salle d’audience, ont d’ailleurs dû se confondre au public, laissant dictaphone et autres outils d’enregistrement à la porte, relève-t-on.
Les audiences publiques de la CDVR vont durer "deux mois".
Les victimes qui seront entendues sont issues des crises successives qui ont secoué la Côte d’Ivoire entre 1990 et 2000, selon le responsable de la communication de la CDVR, Ahmed Touré.
kg/kp
Ultime étape de la démarche de l’institution en charge de conduire le processus de réconciliation inter-ivoiriens, ces audiences publiques vont mettre en scène une centaine de victimes retenues parmi les "60.000" entendues lors de "séances d’écoute", préalablement conduites par la CDVR, qui vont être confrontées à leurs présumés "bourreaux", signale-t-on.
Ouverte à la "salle orchidées" de l’Ivoire golf club, l’audience du jour n’a pas été ouverte aux médias, bien que publique, a constaté l’AIP.
Seuls les cadreurs et autres preneurs d’images des organes nationaux et internationaux présents ont été autorisés à effectuer des vues de la salle avant le début des audiences.
L’impérative protection des témoins explique cette disposition, selon le président de la CDVR, Charles Konan Banny.
"Nous avons l’obligation de protéger ceux qui vont venir témoigner", a-t-il soutenu face aux journalistes désireux de comprendre les raisons pour lesquelles ils n’étaient autorisés à couvrir les auditions.
Les audiences seront enregistrées et seront diffusées, "une dizaine de fois en semaine", sur les antennes la chaîne de télévision nationale, a-t-il rassuré toutefois.
"Cette disposition n’entache en rien la transparence voulue par la CDVR autour de toute sa démarche et davantage autour de cette ultime étape", a tenu à préciser M. Banny avant d’en appeler à la "responsabilité" de tous.
Le fait que ces audiences soient ouvertes au public est un gage de cette volonté de transparence, a-t-il déclaré en sus.
Des journalistes, pour accéder à la salle d’audience, ont d’ailleurs dû se confondre au public, laissant dictaphone et autres outils d’enregistrement à la porte, relève-t-on.
Les audiences publiques de la CDVR vont durer "deux mois".
Les victimes qui seront entendues sont issues des crises successives qui ont secoué la Côte d’Ivoire entre 1990 et 2000, selon le responsable de la communication de la CDVR, Ahmed Touré.
kg/kp