Abidjan - L’affaire judiciaire dont fait l’objet Oscar Pistorius depuis mars a pris fin jeudi, la juge Thokozile Maslpa a rendu son verdict selon lequel l’athlète est reconnu non coupable de meurtre avec préméditation.
Le sprinteur sud-africain a commis l’irréparable à l’aube de la Saint-Valentin en 2013. Il était accusé d’être l’auteur du meurtre de sa compagne, le mannequin Reeva Steenkamp, dans sa maison de Silver Lakes à Pretoria. Dès les premières semaines de l’affaire, il avait avancé la thèse de la méprise, confondant ainsi sa petite amie avec un cambrioleur.
Mais aujourd’hui, la juge Thokozile Malspa a tranché sur le sort du sportif, qui plaidait non coupable à l’ouverture de son procès en mars dernier. Six mois plus tard, la magistrate a divulgué ses conclusions à l’audience qui s’est ouverte jeudi à 9h30, au tribunal de Petroria. La préméditation n’a donc pas été retenue.
La pression était à son comble pour Oscar Pistorius, qui risquait jusqu’à 25 ans de réclusion incompressible. Pour rappel, le guerrier des pistes a subi courant juin des tests psychologiques. Les deux rapports sur l’état mental du médaillé d’or paralympique ont conclu qu’il n’était pas mentalement malade au moment du meurtre.
(AIP)
cmas
Le sprinteur sud-africain a commis l’irréparable à l’aube de la Saint-Valentin en 2013. Il était accusé d’être l’auteur du meurtre de sa compagne, le mannequin Reeva Steenkamp, dans sa maison de Silver Lakes à Pretoria. Dès les premières semaines de l’affaire, il avait avancé la thèse de la méprise, confondant ainsi sa petite amie avec un cambrioleur.
Mais aujourd’hui, la juge Thokozile Malspa a tranché sur le sort du sportif, qui plaidait non coupable à l’ouverture de son procès en mars dernier. Six mois plus tard, la magistrate a divulgué ses conclusions à l’audience qui s’est ouverte jeudi à 9h30, au tribunal de Petroria. La préméditation n’a donc pas été retenue.
La pression était à son comble pour Oscar Pistorius, qui risquait jusqu’à 25 ans de réclusion incompressible. Pour rappel, le guerrier des pistes a subi courant juin des tests psychologiques. Les deux rapports sur l’état mental du médaillé d’or paralympique ont conclu qu’il n’était pas mentalement malade au moment du meurtre.
(AIP)
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