La culture devra être le moteur de l’union entre les ivoiriens pour créer la paix et non la guerre, a soutenu, jeudi soir à Abidjan, le ministre ivoirien de la Culture et de la Francophonie Maurice Kouakou Bandama, estimant que la diversité culturelle de la Côte d’Ivoire est l’une de ses premières richesses.
"Nous sommes une nation riche de sa diversité culturelle qui s’appuie sur sa culture, car la culture crée la paix et non la guerre", a déclaré Maurice Bandama Kouakou à la cérémonie de lancement du Festival Agni. Selon lui, ce festival vient enrichir et valoriser le patrimoine culturel ivoirien et devra à cet effet, être imité dans toutes les régions et départements du pays.
"Nos régions et communes doivent pouvoir avoir leur festival. Le département qui n’aura pas de festival sera dévasté car ces évènements créent de la richesse et stimulent les activités économiques", a-t-il expliqué.
Pour le parrain de ce Festival, Théophile Ahoua N’doli par ailleurs, Directeur de cabinet du Premier ministre ivoirien, "ce festival est indispensable pour renforcer la cohésion entre Ivoiriens après la crise postélectorale de 2010". " La culture doit nous unir et non pas nous diviser. Elle est la sève nourricière des relations humaines", a-t-il soutenu.
Abordant le thème de ce Festival qui est, "l’art oratoire en pays Akan", il a indiqué que dans cette société, "la parole est éminemment sacrée, elle doit être pesée et soupesée". M. Ahoua N’doli estime en outre que "c’est par la parole et non les armes qu’il faut régler les conflits". Il a dans ma foulée insisté sur l’importance pour la Côte d’Ivoire de se réconcilier autour de sa culture.
Le Commissaire général du Festival Agni a pour sa part rappelé que les pays de l’orient et de l’occident se sont développés en s’appuyant sur leur culture. "La culture est l’âme du peuple, un peuple sans culture est comme un arbre sans racines", a dit Eric Ané.
Le Festival Agni se tiendra du 14 au 16 novembre à Abengourou, ville située à 210 km à l’Est d’Abidjan. Les Agni sont une ethnie ivoirienne du Sud-Est et de l’Est de la Côte d’Ivoire avec des ramifications au Ghana, voisin.
"Nous sommes une nation riche de sa diversité culturelle qui s’appuie sur sa culture, car la culture crée la paix et non la guerre", a déclaré Maurice Bandama Kouakou à la cérémonie de lancement du Festival Agni. Selon lui, ce festival vient enrichir et valoriser le patrimoine culturel ivoirien et devra à cet effet, être imité dans toutes les régions et départements du pays.
"Nos régions et communes doivent pouvoir avoir leur festival. Le département qui n’aura pas de festival sera dévasté car ces évènements créent de la richesse et stimulent les activités économiques", a-t-il expliqué.
Pour le parrain de ce Festival, Théophile Ahoua N’doli par ailleurs, Directeur de cabinet du Premier ministre ivoirien, "ce festival est indispensable pour renforcer la cohésion entre Ivoiriens après la crise postélectorale de 2010". " La culture doit nous unir et non pas nous diviser. Elle est la sève nourricière des relations humaines", a-t-il soutenu.
Abordant le thème de ce Festival qui est, "l’art oratoire en pays Akan", il a indiqué que dans cette société, "la parole est éminemment sacrée, elle doit être pesée et soupesée". M. Ahoua N’doli estime en outre que "c’est par la parole et non les armes qu’il faut régler les conflits". Il a dans ma foulée insisté sur l’importance pour la Côte d’Ivoire de se réconcilier autour de sa culture.
Le Commissaire général du Festival Agni a pour sa part rappelé que les pays de l’orient et de l’occident se sont développés en s’appuyant sur leur culture. "La culture est l’âme du peuple, un peuple sans culture est comme un arbre sans racines", a dit Eric Ané.
Le Festival Agni se tiendra du 14 au 16 novembre à Abengourou, ville située à 210 km à l’Est d’Abidjan. Les Agni sont une ethnie ivoirienne du Sud-Est et de l’Est de la Côte d’Ivoire avec des ramifications au Ghana, voisin.