Lorsque le socialiste français François Mitterrand accède au «trône républicain» de la France pour paraphraser le journaliste français Alain Duhamel, en Mai 1981 son premier décret en conseil de ministres fut l’augmentation du taux du Smig (SMIC).
Pendant 14 ans de règne du parti socialiste français, Mitterrand soucieux de l’amélioration des conditions de vie de la majorité des français a relevé le SMIC à 3 reprises.
Cela est conforme à l’idéologie socialiste, sensée défendre les intérêts de la «Multitude».
Sous les tropiques notamment en Eburnie, les alliés du parti socialiste français vont prendre en main les destinées de notre pays de 2000 à 2010. Paradoxe ou amnésie ? Comment comprendre que les socialistes ivoiriens aient royalement négligé voire même oublié la hausse du Smig consubstantiel à l’élévation du niveau de vie de la majorité ?
Pendant cette décennie, la gouvernance des socialistes ivoiriens, la théorisation systématique et systémique va prendre le dessus sur la «praxis» c’est-à-dire la prirnauté du discours idéologique, dogmatique sur le pragmatisme qui caractérise l’action gouvernementale. Dans les agoras, dans les «Sorbonnes» on a préféré la formation idéologique au réalisme politique. Qui l’eut cru ?
Un libéral, Dr Alassane Ouattara, l’unique Premier ministre de Houphouët Boigny, ex-gouverneur de la BCEAO, ex DGA du fonds monétaire international, pur produit du fonds monétaire international, adepte de la bonne gouvernance va creuser l’abcés.
En effet, le président Alassane Ouattara «Sphinx de Kong», véritable force tranquille à l’instar du socialiste François Mitterrand devant la paupérisation grandissante de la masse laborieuse urbaine, après 50 ans d’indépendance va relever le défi de la lutte contre la pauvreté, en rehaussant le SMIG de 36 000 à 60 000 CFA. Quelle belle leçon de partage, d’amour et de solidarité à l’égard des indigents qui constituent hélas la majorité de la population.
A n’en point douter, Ouattara vient de réconcilier en Côte d’ivoire «la morale et la politique», «l’éthique et la politique » ; fini donc le machiavélisme et la manipulation tout azimuts de la masse laborieuse par des discours démagogiques et mielleux. Cette action du président Alassane Ouattara est salutaire à plus d’un titre. Une vraie éducation-formation, belle léçon.
Au plan spirituel, elle est la manifestation tangible de la prise en compte des principes inhérents à la zakat tels que prescrits par le saint coran. De surcroit, elle est la manifestation des recommandations du clergé catholique telle que prônée par les ONG catholiques selon les saintes évangiles, Nicolas Flamel, petit frère des pauvres etc. Aussi, est-il besoin de rappeler qu’au delà de la revalorisation du Smig, le président Alassane Ouattara a posé moult actes faisant de lui un digne héritier de Félix Houphouèt-Boigny et le naturel « continuateur» de la politique économique et sociale de son ainé Aimé Henri Konan Bédié.
L’on se souvient encore des 12 chantiers de l’éléphant d’Afrique, de la croissance économique de 7% en 1997, de la politique sociale hardie (fonds sociaux) en faveur des démunis. N’en déplaise aux prophètes de malheurs et «aux diviseurs communs» de la classe politique ivoirienne, le président Alassane Ouattara et le président Henri Konan Bédié ont plus de similitudes, de convergences que de divergences.
Par le biais du programme présidentiel d’urgence, le Dr Alassane Ouattara prétextant d’un périple national s’adonne à coeur joie à une reconstruction effective et efficiente de la Côte d’Ivoire profonde. Dotant à chaque étape de son périple les villes et les campagnes d’infrastructures de base. Notamment écoles, hôpitaux, routes, ponts...
Aux alliés du président Alassane Ouattara. Pdci, Udpci, Mfa... arrêtez de vous lamenter. Fini l’incertitude. Le président Alassane Ouattara en héritier de Félix Houphouët Boigny et en «continuateur» de Bédié porte en lui les germes, les vibrations positives qui vont permettre à coup sûr de repositionner la Côte d’Ivoire parmi les pays à forte croissance durable. L’émergence n’est pas une utopie mais un objectif qui sera atteint si la paix, l’union, la solidarité, l’amour, le partage, conditions de la paix sociale continuent l’action gouvernementale sous l’impulsion du Dr Alassane Ouattara et de son Premier ministre Kablan Duncan. La candidature unique au Rhdp en faveur du Dr Alassane Ouattara devient une «lapalissade». Toute stratégie de division du bloc Houphouètiste ne serait-elle pas un gage d’alternance bénéfique aux socialistes ivoiriens, pour l’heure, guidés par l’instinct naturel de revanche ? La moindre fissure du Rhdp ne serait-elle pas un cadeau royal aux refondateurs qui se demandent à quand le match retour ?
Dr Yao Yao Bertin,
Spécialiste des Sciences de l’Education (Paris)
Ex-Maire de la Commune de Yopougon
Ancien Professeur de Lettres à Paris
Ancien Encadreur d’Etudiants de DEA à Paris
Pendant 14 ans de règne du parti socialiste français, Mitterrand soucieux de l’amélioration des conditions de vie de la majorité des français a relevé le SMIC à 3 reprises.
Cela est conforme à l’idéologie socialiste, sensée défendre les intérêts de la «Multitude».
Sous les tropiques notamment en Eburnie, les alliés du parti socialiste français vont prendre en main les destinées de notre pays de 2000 à 2010. Paradoxe ou amnésie ? Comment comprendre que les socialistes ivoiriens aient royalement négligé voire même oublié la hausse du Smig consubstantiel à l’élévation du niveau de vie de la majorité ?
Pendant cette décennie, la gouvernance des socialistes ivoiriens, la théorisation systématique et systémique va prendre le dessus sur la «praxis» c’est-à-dire la prirnauté du discours idéologique, dogmatique sur le pragmatisme qui caractérise l’action gouvernementale. Dans les agoras, dans les «Sorbonnes» on a préféré la formation idéologique au réalisme politique. Qui l’eut cru ?
Un libéral, Dr Alassane Ouattara, l’unique Premier ministre de Houphouët Boigny, ex-gouverneur de la BCEAO, ex DGA du fonds monétaire international, pur produit du fonds monétaire international, adepte de la bonne gouvernance va creuser l’abcés.
En effet, le président Alassane Ouattara «Sphinx de Kong», véritable force tranquille à l’instar du socialiste François Mitterrand devant la paupérisation grandissante de la masse laborieuse urbaine, après 50 ans d’indépendance va relever le défi de la lutte contre la pauvreté, en rehaussant le SMIG de 36 000 à 60 000 CFA. Quelle belle leçon de partage, d’amour et de solidarité à l’égard des indigents qui constituent hélas la majorité de la population.
A n’en point douter, Ouattara vient de réconcilier en Côte d’ivoire «la morale et la politique», «l’éthique et la politique » ; fini donc le machiavélisme et la manipulation tout azimuts de la masse laborieuse par des discours démagogiques et mielleux. Cette action du président Alassane Ouattara est salutaire à plus d’un titre. Une vraie éducation-formation, belle léçon.
Au plan spirituel, elle est la manifestation tangible de la prise en compte des principes inhérents à la zakat tels que prescrits par le saint coran. De surcroit, elle est la manifestation des recommandations du clergé catholique telle que prônée par les ONG catholiques selon les saintes évangiles, Nicolas Flamel, petit frère des pauvres etc. Aussi, est-il besoin de rappeler qu’au delà de la revalorisation du Smig, le président Alassane Ouattara a posé moult actes faisant de lui un digne héritier de Félix Houphouèt-Boigny et le naturel « continuateur» de la politique économique et sociale de son ainé Aimé Henri Konan Bédié.
L’on se souvient encore des 12 chantiers de l’éléphant d’Afrique, de la croissance économique de 7% en 1997, de la politique sociale hardie (fonds sociaux) en faveur des démunis. N’en déplaise aux prophètes de malheurs et «aux diviseurs communs» de la classe politique ivoirienne, le président Alassane Ouattara et le président Henri Konan Bédié ont plus de similitudes, de convergences que de divergences.
Par le biais du programme présidentiel d’urgence, le Dr Alassane Ouattara prétextant d’un périple national s’adonne à coeur joie à une reconstruction effective et efficiente de la Côte d’Ivoire profonde. Dotant à chaque étape de son périple les villes et les campagnes d’infrastructures de base. Notamment écoles, hôpitaux, routes, ponts...
Aux alliés du président Alassane Ouattara. Pdci, Udpci, Mfa... arrêtez de vous lamenter. Fini l’incertitude. Le président Alassane Ouattara en héritier de Félix Houphouët Boigny et en «continuateur» de Bédié porte en lui les germes, les vibrations positives qui vont permettre à coup sûr de repositionner la Côte d’Ivoire parmi les pays à forte croissance durable. L’émergence n’est pas une utopie mais un objectif qui sera atteint si la paix, l’union, la solidarité, l’amour, le partage, conditions de la paix sociale continuent l’action gouvernementale sous l’impulsion du Dr Alassane Ouattara et de son Premier ministre Kablan Duncan. La candidature unique au Rhdp en faveur du Dr Alassane Ouattara devient une «lapalissade». Toute stratégie de division du bloc Houphouètiste ne serait-elle pas un gage d’alternance bénéfique aux socialistes ivoiriens, pour l’heure, guidés par l’instinct naturel de revanche ? La moindre fissure du Rhdp ne serait-elle pas un cadeau royal aux refondateurs qui se demandent à quand le match retour ?
Dr Yao Yao Bertin,
Spécialiste des Sciences de l’Education (Paris)
Ex-Maire de la Commune de Yopougon
Ancien Professeur de Lettres à Paris
Ancien Encadreur d’Etudiants de DEA à Paris
