Daloa - Une dizaine d’adolescents, de 14-16 ans, présumés "microbes", ont été interpellés dans la période, du 19 au 23 septembre, par la police de Daloa, à la suite d’une série de tueries et d’agressions à l’arme blanche.
Faisant le point mercredi, sur les efforts déployés par les forces de sécurité pour contrer le phénomène, le préfet de police, Koné Zié, a indiqué que plusieurs opérations menées par ses hommes dans les zones criminogènes ont porté leur fruit.
Ainsi des incursions opérées dans des endroits perçus comme des lieux de grande criminalité tels que le site de l’ex-hôtel les Ambassadeurs, l’ancienne résidence du chef de l’Etat, la gare d’Issia, etc., ont permis, a-t-il dit, de mettre la main sur 26 suspects dont huit microbes, une dizaine de prostituées et d’autres malpropres, en corrélation dans un réseau de dealers et de consommateurs de drogue.
Ces huit mineurs pris avec des armes blanches (machettes, couteaux, tournevis tranchants, fourchettes à deux dents) ont reconnu, selon le chef de la police, avoir perpétré des attaques à main armée dans la ville depuis que des informations ont fait état de leur présence dans la cité.
Ces opérations d’envergure, aux dires du préfet de police, ont confirmé que ces éléments mis sous les verrous sont effectivement des mineurs sans domicile fixe et viennent, pour la plupart, d’Abidjan, de Duékoué, Guiglo et ont le même mode d’opération que les microbes d’Abidjan.
En attendant que la justice se prononce sur le sort des mis en cause, le préfet de police se réjouit de la collaboration des habitants de certains quartiers contre le phénomène des "microbes", et tient à rassurer les populations que les opérations enclenchées contre la recrudescence du grand banditisme et de la destruction des fumoirs continueront jusqu’à ce que la quiétude revienne dans la cité des antilopes.
Aip
Yy/kp
Faisant le point mercredi, sur les efforts déployés par les forces de sécurité pour contrer le phénomène, le préfet de police, Koné Zié, a indiqué que plusieurs opérations menées par ses hommes dans les zones criminogènes ont porté leur fruit.
Ainsi des incursions opérées dans des endroits perçus comme des lieux de grande criminalité tels que le site de l’ex-hôtel les Ambassadeurs, l’ancienne résidence du chef de l’Etat, la gare d’Issia, etc., ont permis, a-t-il dit, de mettre la main sur 26 suspects dont huit microbes, une dizaine de prostituées et d’autres malpropres, en corrélation dans un réseau de dealers et de consommateurs de drogue.
Ces huit mineurs pris avec des armes blanches (machettes, couteaux, tournevis tranchants, fourchettes à deux dents) ont reconnu, selon le chef de la police, avoir perpétré des attaques à main armée dans la ville depuis que des informations ont fait état de leur présence dans la cité.
Ces opérations d’envergure, aux dires du préfet de police, ont confirmé que ces éléments mis sous les verrous sont effectivement des mineurs sans domicile fixe et viennent, pour la plupart, d’Abidjan, de Duékoué, Guiglo et ont le même mode d’opération que les microbes d’Abidjan.
En attendant que la justice se prononce sur le sort des mis en cause, le préfet de police se réjouit de la collaboration des habitants de certains quartiers contre le phénomène des "microbes", et tient à rassurer les populations que les opérations enclenchées contre la recrudescence du grand banditisme et de la destruction des fumoirs continueront jusqu’à ce que la quiétude revienne dans la cité des antilopes.
Aip
Yy/kp