L’appel de Daoukro lancé par le Président Henri Konan Bédié en faveur d’une candidature unique du Chef de l’Etat Alassane Ouattara en 2015, vise la stabilité de la Côte d’Ivoire, a soutenu, mercredi, Guillaume Kigbafori Soro, président de l’Assemblée nationale, à la cérémonie d’ouverture de la 2ème session ordinaire de l’institution.
Une cérémonie rehaussée par la présence du Premier ministre Daniel Kablan Duncan, des présidents d’institution (CEI, Médiateur, Cour suprême), une délégation du Parlement malien conduite par le 2ème Vice-président Amadou Thiam ainsi que le Corps diplomatique avec son doyen, le tout nouveau Nonce Apostolique, Mgr Joseph Spiteri et une délégation des Chefs traditionnels du Haut –Sassandra (Centre-ouest), la région que M. Soro visitera ‘’ très prochainement’’.
Après le rappel des activités de l’intersession marquée par la session extraordinaire relative à la modification du budget et du contexte international ‘’d’alerte et d’alarme’’ lié à l’épidémie du virus Ebola, cette rentrée parlementaire, selon Guillaume Soro, s’effectue au plan national dans un climat ‘’général prometteur, avec le retour effectif’’ à Abidjan, du siège de la Banque Africaine de Développement (BAD).
Pour le chef du parlement ivoirien, ce retour consacre l’effectivité de ‘’la stabilité de notre pays et traduit éloquemment toute la crédibilité et la confiance’’ de nos partenaires multisectoriels depuis l’avènement de la gouvernance Ouattara.
Parlant de ‘’ l’appel de Daoukro’’, M. Soro a souligné qu’il trouve en réalité son fondement dans ‘’l’esprit et la valeur du consensus’’, constatant avec ‘’ effarement’’ ce signal politique, ‘’ peut-être inattendu’’ continue de ‘’ faire couler beaucoup d’encre et de salive’’.
‘’Certaines réactions se font même très alarmistes en véhiculant l’idée que le consensus affiché pour la candidature unique au RHDP « constitue une aliénation de la démocratie et du projet de l’émergence » de notre pays à l’horizon 2020’’, s’est-il offusqué.
Pourtant, a fait remarquer le député de Ferké, l’animation du débat démocratique favorisée par cet événement n’est pas mauvaise en soi, mais qu’une telle ‘’décision puisse continuer de se propager en occultant le débat de fond, je veux dire, le consensus national au service de l’idéal de paix et de développement économique de notre pays, cela me paraît injustifié’’ a indiqué Guillaume Soro.
Poursuivant, il a expliqué que la quête du consensus a de tout temps été l’option ‘’préférée et défendue’’ par feu le Président Félix Houphouët-Boigny, rappelant‘’la grand-messe du Stade GEO André, en octobre 1951’’ quand le premier président ivoirien invitait au ‘’ regroupement et à la fusion’’de tous les partis politiques.‘’ Le réflexe du Président Houphouët-Boigny avait été celui d’un rassembleur et d’un bâtisseur avéré’’, a-t-il martelé.
‘’ Cette fédération des partis et des énergies politiques, inspirée par l’idée du consensus avait permis : quarante ans de stabilité, quarante ans de fraternité et de solidarité entre les Ivoiriens. Ce consensus avait permis quatre décennies de développement de notre pays ! Le miracle de l’économie ivoirienne fut à ce prix’’ s’est souvenu Guillaume Soro.
‘’ Je ne doute pas un seul instant que l’appel de Daoukro qui consacre l’idée d’une candidature unique au sein du RHDP et la formation d’un parti unifié traduit, à n’en point douter, la volonté de nos leaders de s’inscrire dans le droit fil de l’appel historique du Président Houphouët en 1951’’ a approuvé M. Soro.
Pour le président Soro, tout le mérite du consensus politique actuel réside dans le fait que la mouvance présidentielle consolide son alliance pour atteindre des objectifs de développement et de paix. Car, estime-t-il, ‘’l’initiative ou l’action politique vise à assurer la stabilité du pays et améliorer profondément le devenir du citoyen ivoirien’’, a-t-il souligné, exhortant les parlementaires à ‘’ l’amplifier’’.
Pour terminer, M. Soro a insisté que l’heure n’est pas à la ‘’dispersion des énergies’’, mais au ‘’rassemblement des talents’’. Car, ‘’le rassemblement, c’est une option de réussite et derrière le rassemblement, il y a le courage et le mérite’’ a-t-il conclu.
Une cérémonie rehaussée par la présence du Premier ministre Daniel Kablan Duncan, des présidents d’institution (CEI, Médiateur, Cour suprême), une délégation du Parlement malien conduite par le 2ème Vice-président Amadou Thiam ainsi que le Corps diplomatique avec son doyen, le tout nouveau Nonce Apostolique, Mgr Joseph Spiteri et une délégation des Chefs traditionnels du Haut –Sassandra (Centre-ouest), la région que M. Soro visitera ‘’ très prochainement’’.
Après le rappel des activités de l’intersession marquée par la session extraordinaire relative à la modification du budget et du contexte international ‘’d’alerte et d’alarme’’ lié à l’épidémie du virus Ebola, cette rentrée parlementaire, selon Guillaume Soro, s’effectue au plan national dans un climat ‘’général prometteur, avec le retour effectif’’ à Abidjan, du siège de la Banque Africaine de Développement (BAD).
Pour le chef du parlement ivoirien, ce retour consacre l’effectivité de ‘’la stabilité de notre pays et traduit éloquemment toute la crédibilité et la confiance’’ de nos partenaires multisectoriels depuis l’avènement de la gouvernance Ouattara.
Parlant de ‘’ l’appel de Daoukro’’, M. Soro a souligné qu’il trouve en réalité son fondement dans ‘’l’esprit et la valeur du consensus’’, constatant avec ‘’ effarement’’ ce signal politique, ‘’ peut-être inattendu’’ continue de ‘’ faire couler beaucoup d’encre et de salive’’.
‘’Certaines réactions se font même très alarmistes en véhiculant l’idée que le consensus affiché pour la candidature unique au RHDP « constitue une aliénation de la démocratie et du projet de l’émergence » de notre pays à l’horizon 2020’’, s’est-il offusqué.
Pourtant, a fait remarquer le député de Ferké, l’animation du débat démocratique favorisée par cet événement n’est pas mauvaise en soi, mais qu’une telle ‘’décision puisse continuer de se propager en occultant le débat de fond, je veux dire, le consensus national au service de l’idéal de paix et de développement économique de notre pays, cela me paraît injustifié’’ a indiqué Guillaume Soro.
Poursuivant, il a expliqué que la quête du consensus a de tout temps été l’option ‘’préférée et défendue’’ par feu le Président Félix Houphouët-Boigny, rappelant‘’la grand-messe du Stade GEO André, en octobre 1951’’ quand le premier président ivoirien invitait au ‘’ regroupement et à la fusion’’de tous les partis politiques.‘’ Le réflexe du Président Houphouët-Boigny avait été celui d’un rassembleur et d’un bâtisseur avéré’’, a-t-il martelé.
‘’ Cette fédération des partis et des énergies politiques, inspirée par l’idée du consensus avait permis : quarante ans de stabilité, quarante ans de fraternité et de solidarité entre les Ivoiriens. Ce consensus avait permis quatre décennies de développement de notre pays ! Le miracle de l’économie ivoirienne fut à ce prix’’ s’est souvenu Guillaume Soro.
‘’ Je ne doute pas un seul instant que l’appel de Daoukro qui consacre l’idée d’une candidature unique au sein du RHDP et la formation d’un parti unifié traduit, à n’en point douter, la volonté de nos leaders de s’inscrire dans le droit fil de l’appel historique du Président Houphouët en 1951’’ a approuvé M. Soro.
Pour le président Soro, tout le mérite du consensus politique actuel réside dans le fait que la mouvance présidentielle consolide son alliance pour atteindre des objectifs de développement et de paix. Car, estime-t-il, ‘’l’initiative ou l’action politique vise à assurer la stabilité du pays et améliorer profondément le devenir du citoyen ivoirien’’, a-t-il souligné, exhortant les parlementaires à ‘’ l’amplifier’’.
Pour terminer, M. Soro a insisté que l’heure n’est pas à la ‘’dispersion des énergies’’, mais au ‘’rassemblement des talents’’. Car, ‘’le rassemblement, c’est une option de réussite et derrière le rassemblement, il y a le courage et le mérite’’ a-t-il conclu.