Lors d’une réunion de haut-niveau des Communautés économiques régionales en Afrique mercredi au siège de l’ONU à New York, le Vice-secrétaire général des Nations Unies, Jan Eliasson, a souligné que ce continent avait réalisé des progrès considérables, mais qu’il restait des grands défis à surmonter pour répondre aux demandes légitimes des populations africaines.
« Comme dans le reste du monde, les économies africaines n’ont pas pu répondre aux besoins légitimes. Avant tout, il faut créer plus d’emplois, particulièrement pour les jeunes en Afrique », a déclaré M. Eliasson en rappelant que le chômage n’est pas seulement un problème économique mais également un problème social et politique.
Le Vice-secrétaire général a affirmé que le commerce entre les pays africains reste limité, surtout à cause des insuffisances des infrastructures, telles que les chemins de fer et les routes. Les économies de nombreux pays africains ne sont pas suffisamment diversifiées, productives et les institutions pas assez performantes.
« Le résultat, c’est que même si les pays africains ont des taux de croissances impressionnants, le continent n’est toujours pas prêt d’accomplir les Objectifs du Millénaire pour le développement », a expliqué M. Eliasson.
Pour le Vice-Secrétaire général, l’autonomisation des femmes est un élément particulièrement important pour réaliser des progrès collectifs. Les femmes sont capables d’apporter une énergie et une dynamique énormes en Afrique, si les pays du continent parviennent à mettre fin à la discrimination et la violence contre les filles et les femmes et à investir dans leur avenir dans l’ensemble des secteurs de la société.
Le Vice-secrétaire général a salué l’adoption par l’Union africaine de l’Agenda 2063, qui est un plan d’action pour construire une Afrique prospère et unie, fondée sur des « valeurs communes et un destin commun ».
« Les transformations envisagées par l’Agenda 2063 doivent être forgées par une intégration régionale plus forte. Cela requiert un renforcement de la compétitivité des économies africaines, soutenue par davantage d’investissement dans le développement humain, la science, la technologie et les infrastructures », a souligné M. Eliasson.
« Comme dans le reste du monde, les économies africaines n’ont pas pu répondre aux besoins légitimes. Avant tout, il faut créer plus d’emplois, particulièrement pour les jeunes en Afrique », a déclaré M. Eliasson en rappelant que le chômage n’est pas seulement un problème économique mais également un problème social et politique.
Le Vice-secrétaire général a affirmé que le commerce entre les pays africains reste limité, surtout à cause des insuffisances des infrastructures, telles que les chemins de fer et les routes. Les économies de nombreux pays africains ne sont pas suffisamment diversifiées, productives et les institutions pas assez performantes.
« Le résultat, c’est que même si les pays africains ont des taux de croissances impressionnants, le continent n’est toujours pas prêt d’accomplir les Objectifs du Millénaire pour le développement », a expliqué M. Eliasson.
Pour le Vice-Secrétaire général, l’autonomisation des femmes est un élément particulièrement important pour réaliser des progrès collectifs. Les femmes sont capables d’apporter une énergie et une dynamique énormes en Afrique, si les pays du continent parviennent à mettre fin à la discrimination et la violence contre les filles et les femmes et à investir dans leur avenir dans l’ensemble des secteurs de la société.
Le Vice-secrétaire général a salué l’adoption par l’Union africaine de l’Agenda 2063, qui est un plan d’action pour construire une Afrique prospère et unie, fondée sur des « valeurs communes et un destin commun ».
« Les transformations envisagées par l’Agenda 2063 doivent être forgées par une intégration régionale plus forte. Cela requiert un renforcement de la compétitivité des économies africaines, soutenue par davantage d’investissement dans le développement humain, la science, la technologie et les infrastructures », a souligné M. Eliasson.