Des experts du monde universitaire ont recommandé au terme de l'atelier d'élaboration des maquettes de formation au format Licence-Master-Doctorat (LMD) dans le domaine des sciences agronomiques, l'équipement des universités et des grandes écoles en laboratoires pour accompagner la nouvelle architecture des formation du LMD et donner plus de chance aux diplômés de s'insérer dans le milieu professionnel.
Vendredi, lors de la cérémonie de clôture de l'atelier tenu à Yamoussoukro (centre, région du Bélier),le chef de projet, représentant de l'Agence universitaire francophone (AUF), Mohammadou Merawa, a indiqué qu'en plus des domaines de formation et des spécificités identifiés dans le domaine de l'agronomique, les enseignants et chercheurs devront réfléchir, par rapport aux débouchés, sur le contenu des modules pour voir l'exigence internationale et définir des parcours de formation pour le marché de l'emploi.
"Mais, il faut surtout des laboratoires, des équipements pour que les étudiants fassent de la pratique avant de les lancer sur le marché de l'emploi", a affirmé le représentant de l'AUF, insistant sur la poursuite des échanges avec les pays du Nord pour identifier dans un bref délai la liste des équipements exhaustifs qu'il faut pour anticiper.
La présidente internationale des responsables des universités scientifiques d'expression française, le Pr Evelyne Garnier-Zarli, a demandé que l'accent soit mis sur la bio-informatique et l'électronique dans le cadre des futurs recrutements. La doyenne honoraire de la faculté des sciences en technologie en France a suggéré également la formation des spécialistes à la biologie moléculaire, en vue d'un meilleur contrôle des semences des organismes génétiquement modifiés (OGM).
L'atelier d'élaboration des maquettes de formation au format Licence-Master-Doctorat (LMD) dans le domaine des sciences agronomiques a débuté lundi à l'Institut polytechnique Félix Houphouët-Boigny de Yamoussoukro et s'inscrit dans le cadre de la mise en œuvre du projet d'appui à la modernisation et à la réforme des universités et grandes écoles de Côte d'Ivoire (AMRUGE-CI).
nam/kp
Vendredi, lors de la cérémonie de clôture de l'atelier tenu à Yamoussoukro (centre, région du Bélier),le chef de projet, représentant de l'Agence universitaire francophone (AUF), Mohammadou Merawa, a indiqué qu'en plus des domaines de formation et des spécificités identifiés dans le domaine de l'agronomique, les enseignants et chercheurs devront réfléchir, par rapport aux débouchés, sur le contenu des modules pour voir l'exigence internationale et définir des parcours de formation pour le marché de l'emploi.
"Mais, il faut surtout des laboratoires, des équipements pour que les étudiants fassent de la pratique avant de les lancer sur le marché de l'emploi", a affirmé le représentant de l'AUF, insistant sur la poursuite des échanges avec les pays du Nord pour identifier dans un bref délai la liste des équipements exhaustifs qu'il faut pour anticiper.
La présidente internationale des responsables des universités scientifiques d'expression française, le Pr Evelyne Garnier-Zarli, a demandé que l'accent soit mis sur la bio-informatique et l'électronique dans le cadre des futurs recrutements. La doyenne honoraire de la faculté des sciences en technologie en France a suggéré également la formation des spécialistes à la biologie moléculaire, en vue d'un meilleur contrôle des semences des organismes génétiquement modifiés (OGM).
L'atelier d'élaboration des maquettes de formation au format Licence-Master-Doctorat (LMD) dans le domaine des sciences agronomiques a débuté lundi à l'Institut polytechnique Félix Houphouët-Boigny de Yamoussoukro et s'inscrit dans le cadre de la mise en œuvre du projet d'appui à la modernisation et à la réforme des universités et grandes écoles de Côte d'Ivoire (AMRUGE-CI).
nam/kp