L'opposition politique pro-Gbagbo en Côte d'Ivoire maintient le retrait de ses représentants de la Commission électorale indépendante (CEI) et réclame toujours un "bureau consensuel" de l'organe en charge de l'organisation des élections prévues en 2015.
Dans un communiqué transmis jeudi à Xinhua, le président du Front populaire ivoirien (FPI, de Laurent Gbagbo), Pascal Affi N'guessan, rappelle que le Comité central, "l'instance de décision" de son parti, "n'ayant pas, à ce jour, reconsidéré sa position sur ce dossier, n'a pas encore changé sa décision du 13 septembre 2014".
Le 13 septembre, à l'issue d'une réunion extraordinaire, le Comité central du FPI a décidé de retirer son représentant de la CEI.
De même, les membres de l'Alliance des forces démocratiques de Côte d'Ivoire (AFD-CI, groupement de 12 partis dont le FPI assure la présidence) ont également suspendu leur participation aux travaux de la CEI.
En l'absence de l'AFD-CI qui a claqué la porte à l'élection le 5 septembre du bureau de la CEI, un bureau central de six membres a été constitué et Youssouf Bakayoko a rempilé au poste de président de l'organe en charge des élections.
"L'Alliance a subordonné son retour dans cette institution à la mise en place d'un bureau consensuel prenant en compte le mode de désignation du président de ladite institution", souligne le communiqué signé du président du FPI.
A l'issue d'un conseil des ministres, le 26 septembre, le gouvernement a proposé de faire passer le bureau central de la CEI de six à neuf membres avec un 4ème poste de vice-président et deux postes de secrétaire général adjoint.
La nouvelle CEI reste composée de 17 membres dont un représentant du président de la République, quatre du parti ou du groupement de partis au pouvoir, quatre du parti ou du groupement de partis d'opposition, quatre de l'administration et quatre de la société civile.
La création de nouveaux postes au bureau central de la CEI ne semble pas avoir répondu aux attentes du FPI et de ses alliés qui affirment demeurer "dans l'attente de la satisfaction" de leurs "conditions".
Dans un communiqué transmis jeudi à Xinhua, le président du Front populaire ivoirien (FPI, de Laurent Gbagbo), Pascal Affi N'guessan, rappelle que le Comité central, "l'instance de décision" de son parti, "n'ayant pas, à ce jour, reconsidéré sa position sur ce dossier, n'a pas encore changé sa décision du 13 septembre 2014".
Le 13 septembre, à l'issue d'une réunion extraordinaire, le Comité central du FPI a décidé de retirer son représentant de la CEI.
De même, les membres de l'Alliance des forces démocratiques de Côte d'Ivoire (AFD-CI, groupement de 12 partis dont le FPI assure la présidence) ont également suspendu leur participation aux travaux de la CEI.
En l'absence de l'AFD-CI qui a claqué la porte à l'élection le 5 septembre du bureau de la CEI, un bureau central de six membres a été constitué et Youssouf Bakayoko a rempilé au poste de président de l'organe en charge des élections.
"L'Alliance a subordonné son retour dans cette institution à la mise en place d'un bureau consensuel prenant en compte le mode de désignation du président de ladite institution", souligne le communiqué signé du président du FPI.
A l'issue d'un conseil des ministres, le 26 septembre, le gouvernement a proposé de faire passer le bureau central de la CEI de six à neuf membres avec un 4ème poste de vice-président et deux postes de secrétaire général adjoint.
La nouvelle CEI reste composée de 17 membres dont un représentant du président de la République, quatre du parti ou du groupement de partis au pouvoir, quatre du parti ou du groupement de partis d'opposition, quatre de l'administration et quatre de la société civile.
La création de nouveaux postes au bureau central de la CEI ne semble pas avoir répondu aux attentes du FPI et de ses alliés qui affirment demeurer "dans l'attente de la satisfaction" de leurs "conditions".