Bouaké – Un jeune chauffeur de mototaxi, Koné Yatché, âge de 21 ans, résidant au quartier Broukro, à Bouaké, a été tué par un train, dimanche aux environs de 5H40 minutes du matin, près du passage à niveau gardé d’Angouatanikro.
La victime, selon des témoignages concordants et le rapport de la police, voulant traverser les rails au moment où le train venait, a percuté la barrière qui était bien descendue et a manqué même de renverser l’agent de sécurité du passage à niveau, avant de tomber devant le train qui l’a entrainé jusqu’à une distance d’un peu plus de 100 mètres avant de s’arrêter avec un corps sans vie et méconnaissable.
"Cet accident est arrivé par l’indiscipline du motocycliste", a affirmé le responsable du service des constats de la préfecture de police, le lieutenant Silué Nougogneri qui a indiqué, par ailleurs, qu’il s’agit du train marchandise N°501 immatriculé CC22109 qui venait d’Abidjan.
Ses collègues chauffeurs de mototaxis, Coulibaly Ibrahim et Kéita Mohamed, témoins oculaires qui stationnent devant le "Maquis Bouaké Gazoil", près du lieu du drame, disent ne pas comprendre ce qui est arrivé à leur camarade, parce qu’il n’a pas marqué d’arrêt, malgré les klaxons du train.
nbf/kkp/kam
La victime, selon des témoignages concordants et le rapport de la police, voulant traverser les rails au moment où le train venait, a percuté la barrière qui était bien descendue et a manqué même de renverser l’agent de sécurité du passage à niveau, avant de tomber devant le train qui l’a entrainé jusqu’à une distance d’un peu plus de 100 mètres avant de s’arrêter avec un corps sans vie et méconnaissable.
"Cet accident est arrivé par l’indiscipline du motocycliste", a affirmé le responsable du service des constats de la préfecture de police, le lieutenant Silué Nougogneri qui a indiqué, par ailleurs, qu’il s’agit du train marchandise N°501 immatriculé CC22109 qui venait d’Abidjan.
Ses collègues chauffeurs de mototaxis, Coulibaly Ibrahim et Kéita Mohamed, témoins oculaires qui stationnent devant le "Maquis Bouaké Gazoil", près du lieu du drame, disent ne pas comprendre ce qui est arrivé à leur camarade, parce qu’il n’a pas marqué d’arrêt, malgré les klaxons du train.
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