L’Union pour la démocratie et la paix en Côte d’Ivoire (UDPCI, membre de la coalition au pouvoir) a demandé l’ouverture ‘’enfin’’ du procès de l’assassinat de son fondateur, le général Robert Guéï, indique le communiqué du Bureau politique, transmis, dimanche soir, à APA.
Analysant la situation socio-politique, l’UDPCI se félicite des ‘’procès en cours’’ liés à la crise postélectorale et demande aux autorités judiciaires ivoiriennes de ‘’ faire en sorte que le procès sur l’assassinat du général Guéï Robert s’ouvre enfin’’.
Par ailleurs, le Bureau politique, poursuit le communiqué, demande au gouvernement de prendre des dispositions en rapport avec le gouvernement du Faso ‘’ à l’effet de faire la lumière sur l’assassinat au Burkina Faso de son premier secrétaire général, le Docteur Balla Kéïta’’, assassiné, le 1er août 2002, à sa résidence de Ouagadougou, la capitale burkinabé.
Trois semaines d’enquêtes policières après les faits, le procureur général près la Cour d’appel de Ouagadougou, Abdoulaye Barry, avait estimé, lors d’une conférence de presse qu’il y a "de très fortes chances" que M. Kéita ait ‘’été tué par une femme, dernière personne que la victime a reçue en visite peu avant son assassinat’’.
Le général Robert Guéï, auteur du putsch qui a évincé Henri Konan Bédié du pouvoir en décembre 1999, chef d’Etat (décembre 1999-octobre 2000) a été tué le 19 septembre 2002 lors de la crise militaro-politique qui s’est muée en une rébellion qui a occupé 63% du territoire ivoirien de l’ouest au nord en passant par le centre jusqu’en 2010.
Les autorités d’alors, notamment Pascal Affi N’guessan, Premier ministre au moment des faits, avait déclaré quelques heures après la découverte du corps du général Guéï dans un buisson à Cocody (Est d’Abidjan) qu’il ‘’partait lire une déclaration de prise du pouvoir’’ à la Télévision ivoirienne située dans ce quartier huppé de la capitale économique ivoirienne.
En octobre 2012, le parquet militaire d’Abidjan avait inculpé quatre officiers ivoiriens dans l’assassinat de l’ex-président de l’UDPCI, Robert Gueï.
‘’ Le commandant Anselme Seka Yapo a été inculpé d’assassinat, le général Brunot Dogbo Blé, le lieutenant-colonel Katé Gnatoa et le capitaine Mory Sakanoko ont été inculpés de complicité d’assassinat’’ avait précisé le procureur militaire Ange Kessi.
Analysant la situation socio-politique, l’UDPCI se félicite des ‘’procès en cours’’ liés à la crise postélectorale et demande aux autorités judiciaires ivoiriennes de ‘’ faire en sorte que le procès sur l’assassinat du général Guéï Robert s’ouvre enfin’’.
Par ailleurs, le Bureau politique, poursuit le communiqué, demande au gouvernement de prendre des dispositions en rapport avec le gouvernement du Faso ‘’ à l’effet de faire la lumière sur l’assassinat au Burkina Faso de son premier secrétaire général, le Docteur Balla Kéïta’’, assassiné, le 1er août 2002, à sa résidence de Ouagadougou, la capitale burkinabé.
Trois semaines d’enquêtes policières après les faits, le procureur général près la Cour d’appel de Ouagadougou, Abdoulaye Barry, avait estimé, lors d’une conférence de presse qu’il y a "de très fortes chances" que M. Kéita ait ‘’été tué par une femme, dernière personne que la victime a reçue en visite peu avant son assassinat’’.
Le général Robert Guéï, auteur du putsch qui a évincé Henri Konan Bédié du pouvoir en décembre 1999, chef d’Etat (décembre 1999-octobre 2000) a été tué le 19 septembre 2002 lors de la crise militaro-politique qui s’est muée en une rébellion qui a occupé 63% du territoire ivoirien de l’ouest au nord en passant par le centre jusqu’en 2010.
Les autorités d’alors, notamment Pascal Affi N’guessan, Premier ministre au moment des faits, avait déclaré quelques heures après la découverte du corps du général Guéï dans un buisson à Cocody (Est d’Abidjan) qu’il ‘’partait lire une déclaration de prise du pouvoir’’ à la Télévision ivoirienne située dans ce quartier huppé de la capitale économique ivoirienne.
En octobre 2012, le parquet militaire d’Abidjan avait inculpé quatre officiers ivoiriens dans l’assassinat de l’ex-président de l’UDPCI, Robert Gueï.
‘’ Le commandant Anselme Seka Yapo a été inculpé d’assassinat, le général Brunot Dogbo Blé, le lieutenant-colonel Katé Gnatoa et le capitaine Mory Sakanoko ont été inculpés de complicité d’assassinat’’ avait précisé le procureur militaire Ange Kessi.