San Pedro – Fou de jalousie, Yaro Etienne a tailladé à coups de machette son épouse, Niébé Salimata, deux de leurs enfants et le supposé amant, dans la nuit de mardi à mercredi, au quartier CMA de San Pedro, laissant l’épouse dans un état critique, avant de prendre la fuite.
Dame Niébé Salimata, lutte actuellement contre la mort aux soins intensifs du Centre hospitalier régional (CHR) de San Pedro, où elle a été admise à la suite de l’agression dont elle a été victime de la part de son mari qui l’accusait d’infidélité avec un voisin.
Les atrocités que Yaro Etienne a fait subir à son épouse sont nombreuses, notamment de larges entailles à la tête, avec le crâne vendu, une joue arrachée, un doigt coupé, une épaule et le dos tailladés.
Aïssatta, âgée de six ans, fille du couple Yaro et Salimata, a reçu un coup de machette dans le dos, et le jeune garçon, âgé de 14 ans, fruit de l’union de dame Salimata et de son défunt mari, a quant à lui reçu un coup de machette à la tête.
Devant la fureur de son mari, dame Salimata s'était réfugiée chez le voisin, son prétendu amant, sans pour autant parvenir à échapper à la colère de Yaro Etienne qui l’a suivie et ensuite tailladé la main du voisin qui cherchait à s’interposer.
Son forfait accompli, Yaro Eienne a pris la fuite et est activement recherché par la police.
Les circonstances réelles du drame restent toujours à clarifier. Cependant les voisins racontent que le couple Yaro-Salimata depuis quelques temps avait de récurrentes disputes, souvent liées aux crises de jalousie de Yaro dont aurait été saisi le consul du Burkina à San Pedro.
Originaire du Burkina Faso, le couple Yaro-Salimata vivait ensemble depuis près d’une dizaine d’année, dans le cadre de la pratique du lévirat, à la suite du décès du frère aîné de Yaro Etienne. Le defunt était marié à Niébé Salimata avec qui il a eu une fille aujourd’hui majeure et un garçon âgé de 14 ans.
L’aîné des frères Yaro avait construit sa propre maison et possédait d’autres biens à San Pedro. Au décès de celui-ci, son cadet, Yaro Etienne, arrive du Burkina pour prendre la succession selon la tradition du lévirat, et hérite non seulement des biens matériels du frère aîné mais également reçoit pour épouse la veuve, Niébé Salimata, avec qui il vit dans la maison laissée par son frère.
La jalousie maladive de Yaro Etienne a fréquemment perturbé la vie du couple jusqu’au drame du 21 octobre.
jmk/ask
Dame Niébé Salimata, lutte actuellement contre la mort aux soins intensifs du Centre hospitalier régional (CHR) de San Pedro, où elle a été admise à la suite de l’agression dont elle a été victime de la part de son mari qui l’accusait d’infidélité avec un voisin.
Les atrocités que Yaro Etienne a fait subir à son épouse sont nombreuses, notamment de larges entailles à la tête, avec le crâne vendu, une joue arrachée, un doigt coupé, une épaule et le dos tailladés.
Aïssatta, âgée de six ans, fille du couple Yaro et Salimata, a reçu un coup de machette dans le dos, et le jeune garçon, âgé de 14 ans, fruit de l’union de dame Salimata et de son défunt mari, a quant à lui reçu un coup de machette à la tête.
Devant la fureur de son mari, dame Salimata s'était réfugiée chez le voisin, son prétendu amant, sans pour autant parvenir à échapper à la colère de Yaro Etienne qui l’a suivie et ensuite tailladé la main du voisin qui cherchait à s’interposer.
Son forfait accompli, Yaro Eienne a pris la fuite et est activement recherché par la police.
Les circonstances réelles du drame restent toujours à clarifier. Cependant les voisins racontent que le couple Yaro-Salimata depuis quelques temps avait de récurrentes disputes, souvent liées aux crises de jalousie de Yaro dont aurait été saisi le consul du Burkina à San Pedro.
Originaire du Burkina Faso, le couple Yaro-Salimata vivait ensemble depuis près d’une dizaine d’année, dans le cadre de la pratique du lévirat, à la suite du décès du frère aîné de Yaro Etienne. Le defunt était marié à Niébé Salimata avec qui il a eu une fille aujourd’hui majeure et un garçon âgé de 14 ans.
L’aîné des frères Yaro avait construit sa propre maison et possédait d’autres biens à San Pedro. Au décès de celui-ci, son cadet, Yaro Etienne, arrive du Burkina pour prendre la succession selon la tradition du lévirat, et hérite non seulement des biens matériels du frère aîné mais également reçoit pour épouse la veuve, Niébé Salimata, avec qui il vit dans la maison laissée par son frère.
La jalousie maladive de Yaro Etienne a fréquemment perturbé la vie du couple jusqu’au drame du 21 octobre.
jmk/ask