Oumé - L’organisation non gouvernementale (ONG) « produire le cacao de qualité » a initié une session de formation des gérants de magasins et analyseurs de coopératives du département d’Oumé sur l’amélioration de la qualité des fèves de cacao.
Les participants ont bénéficié d’enseignements, vendredi, sur la qualité des fèves de cacao à exporter, dispensés par le responsable de la formation de cette ONG.
Le formateur a fait savoir que les magasiniers ont la lourde charge de contrôler la qualité du cacao, de la production dans les plantations jusqu’à son exportation.
Pour lui, ceux-ci doivent veiller sur le choix des plants sélectionnés, l’entretien des parcelles, du cabossage et la fermentation, le séchage, le transport et le conditionnement des fèves dans les sacs au magasin.
"Toutes ces étapes doivent absolument obéir aux normes de qualité pour le respect des différentes certifications en vigueur", a-t-il insisté, précisant qu’en vue d’une meilleure traçabilité de cette spéculation, les magasiniers et analyseurs doivent user de "tous leurs sens, l’odorat, la vue le toucher pour identifier le cacao de meilleure qualité".
Le second module a été animé par Arnaud Mégbi, assistant des producteurs. Il a instruit les participants sur le programme d‘aide aux producteurs, afin que ceux-ci soient outillés pour aider les planteurs à parvenir à leur autonomie financière en produisant des fèves de cacao de qualité.
dj/ask
Les participants ont bénéficié d’enseignements, vendredi, sur la qualité des fèves de cacao à exporter, dispensés par le responsable de la formation de cette ONG.
Le formateur a fait savoir que les magasiniers ont la lourde charge de contrôler la qualité du cacao, de la production dans les plantations jusqu’à son exportation.
Pour lui, ceux-ci doivent veiller sur le choix des plants sélectionnés, l’entretien des parcelles, du cabossage et la fermentation, le séchage, le transport et le conditionnement des fèves dans les sacs au magasin.
"Toutes ces étapes doivent absolument obéir aux normes de qualité pour le respect des différentes certifications en vigueur", a-t-il insisté, précisant qu’en vue d’une meilleure traçabilité de cette spéculation, les magasiniers et analyseurs doivent user de "tous leurs sens, l’odorat, la vue le toucher pour identifier le cacao de meilleure qualité".
Le second module a été animé par Arnaud Mégbi, assistant des producteurs. Il a instruit les participants sur le programme d‘aide aux producteurs, afin que ceux-ci soient outillés pour aider les planteurs à parvenir à leur autonomie financière en produisant des fèves de cacao de qualité.
dj/ask