Bouaké - Le Premier ministre Daniel Kablan Duncan a inauguré, lundi à Bouaké, l’usine de ‘’Cajou des Savanes’’ d’un coût d’1,5 milliard de FCFA et qui doit transformer l’anacarde du groupe Industrial promotion service (IPS) West-Africa.
Daniel Kablan Duncan a salué l’avènement de cette société, soulignant qu’elle arrive à point nommé parce qu’elle concourt à la réalisation de l’ambition du gouvernement de réduire le taux de chômage et s’inscrit dans la stratégie de transformation des matières premières ivoiriennes visant à accroître leurs valeurs ajoutées et les recettes d’exportation.
«Je voudrais féliciter chaleureusement le groupe IPS pour la confiance renouvelée en notre pays», a-t-il indiqué, avant d’inviter la société de ‘’Cajou des Savanes’’ à approfondir la transformation de la noix brute et à diversifier sa présence dans le tissu industriel ivoirien.
L’usine semi-automatique de transformation des noix brutes de cajou en amandes a démarré en juin avec une prévision de 2.000 tonnes pour la première campagne 2014-2015. A terme, la quantité annuelle de noix usinées, destinées essentiellement aux marchés mondiaux, passera à 10.000 tonnes. L’usine qui fonctionne actuellement avec plus de 400 employés, créera 1.000 emplois au final dont 75% seraient réservés aux femmes.
«C’est donc un projet à fort impact économique et social que nous inaugurons aujourd’hui», a signifié le directeur général de ‘’Cajou des Savanes’’, Vamoussa Diomandé, qui a aussi remercié les autorités pour leur présence à cette cérémonie.
La production de noix de cajou est passée de 500.000 tonnes en 2013 à 550.000 tonnes en 2014. Avec une croissance annuelle de 16%, la production annuelle pourrait atteindre 1.000.000 de tonnes à l’horizon 2020. L’on note un taux de transformation actuel estimé à 5% avec un manque à gagner considérable en termes de valeur ajoutée pour l’économie ivoirienne, de revenus pour les producteurs et de recettes pour les finances publiques.
Pour tirer meilleur profit de ce produit, le gouvernement a adopté un programme de développement du secteur visant un taux de transformation de 35% en 2016 et de 100% en 2020.
Nbf/kkp/tm
Daniel Kablan Duncan a salué l’avènement de cette société, soulignant qu’elle arrive à point nommé parce qu’elle concourt à la réalisation de l’ambition du gouvernement de réduire le taux de chômage et s’inscrit dans la stratégie de transformation des matières premières ivoiriennes visant à accroître leurs valeurs ajoutées et les recettes d’exportation.
«Je voudrais féliciter chaleureusement le groupe IPS pour la confiance renouvelée en notre pays», a-t-il indiqué, avant d’inviter la société de ‘’Cajou des Savanes’’ à approfondir la transformation de la noix brute et à diversifier sa présence dans le tissu industriel ivoirien.
L’usine semi-automatique de transformation des noix brutes de cajou en amandes a démarré en juin avec une prévision de 2.000 tonnes pour la première campagne 2014-2015. A terme, la quantité annuelle de noix usinées, destinées essentiellement aux marchés mondiaux, passera à 10.000 tonnes. L’usine qui fonctionne actuellement avec plus de 400 employés, créera 1.000 emplois au final dont 75% seraient réservés aux femmes.
«C’est donc un projet à fort impact économique et social que nous inaugurons aujourd’hui», a signifié le directeur général de ‘’Cajou des Savanes’’, Vamoussa Diomandé, qui a aussi remercié les autorités pour leur présence à cette cérémonie.
La production de noix de cajou est passée de 500.000 tonnes en 2013 à 550.000 tonnes en 2014. Avec une croissance annuelle de 16%, la production annuelle pourrait atteindre 1.000.000 de tonnes à l’horizon 2020. L’on note un taux de transformation actuel estimé à 5% avec un manque à gagner considérable en termes de valeur ajoutée pour l’économie ivoirienne, de revenus pour les producteurs et de recettes pour les finances publiques.
Pour tirer meilleur profit de ce produit, le gouvernement a adopté un programme de développement du secteur visant un taux de transformation de 35% en 2016 et de 100% en 2020.
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