Abidjan (Côte d’Ivoire) - Le Front populaire ivoirien (FPI) a exigé la libération de son 11ème Vice-président chargé des recherches et de la veille stratégique, Moïse Lida Kouassi, a appris APA mercredi dans un communiqué publié par ce parti.
La Secrétaire Nationale chargée de la justice, des libertés publiques et des droits de l'homme ainsi que son avocat conseil ont entrepris des diligences en vue de connaître le motif de cet enlèvement et le lieu de détention de notre camarade, indique le communiqué signé par La Secrétaire générale et Prote-parole, Agnès Monnet qui ‘'exige la libération, sans condition, du camarade Moise Lida Kouassi''.
‘' Plus de 72 heures après cet enlèvement et malgré toutes les démarches entreprises, la direction du Parti ne sait toujours pas où le camarade Moïse Lida Kouassi a été conduit ni les raisons de son enlèvement'', s'inquiète le parti de l'ancien Chef de l'Etat Laurent Gbagbo, soulignant que ‘'différentes sources soutiennent cependant qu'il aurait été arrêté à son domicile par des agents de la Direction de la Surveillance du Territoire (DST)''.
Selon le texte ‘'connaissant les actes de torture habituellement pratiqués à la DST contre les militants du Parti et largement dénoncé par les organisations de défense des droits de l'homme, le FPI s'inquiète pour la vie du camarade Moïse Lida Kouassi''.
Par ailleurs, le parti de M. Gbagbo ‘'dénonce avec la dernière énergie l'intensification du harcèlement contre ses militants à l'approche des élections générales de 2015'' et ‘'condamne les actes récurrents d'enlèvement et de torture contraires aux pratiques d'un Etat moderne et démocratique''.
Moïse Lida Kouassi a été officiellement inculpé, lundi, de complicité d'atteinte à la sûreté de l'Etat, puis transféré à la Maison d'arrêt et de correction d'Abidjan (MACA). Selon Me Félix Bobré, son client a été inculpé pour complicité d'atteinte à la sûreté de l'Etat mais aussi de constitution de bande armée et assassinat. Ces faits se seraient déroulés entre août 2012 et le 6 décembre 2013.
Arrêté vendredi à son domicile et conduit dans les locaux de la Direction de la surveillance du territoire (DST), Moïse Lida Kouassi a été présenté, lundi, au doyen des juges d'instruction. Il était apparu en ‘'forme et détendu'', précisait son avocat.
Après cette audition, il a été placé sous mandat de dépôt et transféré à la MACA. Moïse Lida Kouassi, ancien ministre de la défense sous Laurent Gbagbo, nie en bloc les faits qui lui sont reprochés. M. Kouassi, avait été mis aux arrêts en juin 2012 à Lomé (Togo), puis extradé à Abidjan.
LS
La Secrétaire Nationale chargée de la justice, des libertés publiques et des droits de l'homme ainsi que son avocat conseil ont entrepris des diligences en vue de connaître le motif de cet enlèvement et le lieu de détention de notre camarade, indique le communiqué signé par La Secrétaire générale et Prote-parole, Agnès Monnet qui ‘'exige la libération, sans condition, du camarade Moise Lida Kouassi''.
‘' Plus de 72 heures après cet enlèvement et malgré toutes les démarches entreprises, la direction du Parti ne sait toujours pas où le camarade Moïse Lida Kouassi a été conduit ni les raisons de son enlèvement'', s'inquiète le parti de l'ancien Chef de l'Etat Laurent Gbagbo, soulignant que ‘'différentes sources soutiennent cependant qu'il aurait été arrêté à son domicile par des agents de la Direction de la Surveillance du Territoire (DST)''.
Selon le texte ‘'connaissant les actes de torture habituellement pratiqués à la DST contre les militants du Parti et largement dénoncé par les organisations de défense des droits de l'homme, le FPI s'inquiète pour la vie du camarade Moïse Lida Kouassi''.
Par ailleurs, le parti de M. Gbagbo ‘'dénonce avec la dernière énergie l'intensification du harcèlement contre ses militants à l'approche des élections générales de 2015'' et ‘'condamne les actes récurrents d'enlèvement et de torture contraires aux pratiques d'un Etat moderne et démocratique''.
Moïse Lida Kouassi a été officiellement inculpé, lundi, de complicité d'atteinte à la sûreté de l'Etat, puis transféré à la Maison d'arrêt et de correction d'Abidjan (MACA). Selon Me Félix Bobré, son client a été inculpé pour complicité d'atteinte à la sûreté de l'Etat mais aussi de constitution de bande armée et assassinat. Ces faits se seraient déroulés entre août 2012 et le 6 décembre 2013.
Arrêté vendredi à son domicile et conduit dans les locaux de la Direction de la surveillance du territoire (DST), Moïse Lida Kouassi a été présenté, lundi, au doyen des juges d'instruction. Il était apparu en ‘'forme et détendu'', précisait son avocat.
Après cette audition, il a été placé sous mandat de dépôt et transféré à la MACA. Moïse Lida Kouassi, ancien ministre de la défense sous Laurent Gbagbo, nie en bloc les faits qui lui sont reprochés. M. Kouassi, avait été mis aux arrêts en juin 2012 à Lomé (Togo), puis extradé à Abidjan.
LS