Agboville - Un atelier sur les protocoles de la Communauté économique des Etats de l’Afrique de l’Ouest (CEDEAO) portant sur la libre circulation des personnes et leur implication nationale a été ouvert, jeudi, à Agboville, à l'initiative du ministère de l'Intégration africaine et des Ivoiriens de l'Extérieur.
Il réunit une quarantaine de participants notamment des experts, des fonctionnaires de police aux frontières, des agents de l’émigration et de l’immigration et autres agents de l’Etat de ministères ayant en charge la gestion de la migration en Côte d’Ivoire.
Ils réfléchissent sur les protocoles de la libre circulation des personnes et des biens, le droit d’établissement, le droit d’entrée et le droit de résidence, a indiqué un chargé d’étude au Cabinet du ministre de l’Intégration africaine et des Ivoiriens de l’Extérieur, Koné Siaka, par ailleurs collaborateur du conseiller technique en charge des questions de migrations et développement.
"La Côte d’Ivoire est parmi les meilleures élèves au niveau de l’application du protocole CEDEAO", a-t-il assuré à l’ouverture des travaux, expliquant que les personnes qui migrent vers la Côte d’Ivoire ont des obligations en matière de procédures et d’acquisition de documents de voyage.
Le Chargé d’Etude a expliqué qu’au niveau de la Côte d’Ivoire, des "avancées majeures" ont été enregistrées quant à la libre circulation des personnes, affirmant qu'il reste à la Côte d’Ivoire de permettre à la population étrangères d’avoir la documentation pour s’identifier.
"Si cela est fait, on sera une référence au niveau Cedeao", a-t-il dit.
"La libre circulation, c’est aussi avoir ces documents, pour pouvoir effectuer les déplacements, dans l’espace communautaire Cedeao", a conclu le responsable du ministère de l’Intégration africaine.
Dd/ask
Il réunit une quarantaine de participants notamment des experts, des fonctionnaires de police aux frontières, des agents de l’émigration et de l’immigration et autres agents de l’Etat de ministères ayant en charge la gestion de la migration en Côte d’Ivoire.
Ils réfléchissent sur les protocoles de la libre circulation des personnes et des biens, le droit d’établissement, le droit d’entrée et le droit de résidence, a indiqué un chargé d’étude au Cabinet du ministre de l’Intégration africaine et des Ivoiriens de l’Extérieur, Koné Siaka, par ailleurs collaborateur du conseiller technique en charge des questions de migrations et développement.
"La Côte d’Ivoire est parmi les meilleures élèves au niveau de l’application du protocole CEDEAO", a-t-il assuré à l’ouverture des travaux, expliquant que les personnes qui migrent vers la Côte d’Ivoire ont des obligations en matière de procédures et d’acquisition de documents de voyage.
Le Chargé d’Etude a expliqué qu’au niveau de la Côte d’Ivoire, des "avancées majeures" ont été enregistrées quant à la libre circulation des personnes, affirmant qu'il reste à la Côte d’Ivoire de permettre à la population étrangères d’avoir la documentation pour s’identifier.
"Si cela est fait, on sera une référence au niveau Cedeao", a-t-il dit.
"La libre circulation, c’est aussi avoir ces documents, pour pouvoir effectuer les déplacements, dans l’espace communautaire Cedeao", a conclu le responsable du ministère de l’Intégration africaine.
Dd/ask