YAMOUSSOUKRO -- Un atelier de renforcement des capacités d'une vingtaine de commissaires centraux et du personnel technique en matière d'administration électorale se tient à Yamoussoukro (centre, 230 km d'Abidjan), à l'initiative de la Commission électorale indépendante (CEI) en prélude aux élections de 2015.
"Nous sommes maintenant en mesure de bâtir notre plan stratégique, d'avoir une vision pour aller jusqu'à l'an 2020 pour que ce plan permette à notre Commission d'être apte à organiser des élections justes, inclusives afin que notre pays reste un pays d'élections propres et soit un pays de stabilité durable", a déclaré le 1er vice-président de la CEI, Koné Sourou, jeudi à la cérémonie de clôture de l'atelier de deux jours.
Au sortir de l'atelier, les commissaires centraux de la CEI se sont davantage familiarisés avec l'administration électorale dans tous ses compartiments tant dans son organisation que dans son fonctionnement pour accomplir sereinement leur mission lors des prochaines élections en Côte d'Ivoire.
"Consciente de l'importance des futurs scrutins sur la vie politique de la Côte d'Ivoire et de l'ampleur de la tâche ainsi que des défis à relever, la CEI a programmé sans perdre de temps la formation pour la mise à niveau des principaux acteurs de la machine électorale pour répondre à l'attente des Ivoiriens", avait indiqué le président de la CEI, Youssouf Bakayoko à l'ouverture des travaux.
Les élections de 2015 sont censées traduire le retour de la paix et la normalisation de la vie politique en Côte d'Ivoire après les violences de novembre 2010.
L'opposition pro-Gbagbo a suspendu sa participation aux travaux de la CEI qu'elle juge déséquilibrée en faveur du pouvoir.
Elle ne s'est toujours pas prononcée en faveur d'un retour de ses représentants à la CEI malgré une loi adoptée récemment par l'Assemblée nationale créant un nouveau poste de vice-président et un autre poste de secrétaire général adjoint pour tenter de faire répondre à ses revendications.
Pour le président de la CEI, "la nouvelle commission résulte d'un dialogue visant à maintenir un climat de confiance et un environnement favorisant la tenue d'élections apaisées".
La CEI réformée compte 17 membres dont un représentant du président de la République, quatre de l'administration, quatre de l'opposition, quatre du pouvoir et quatre de la société civile.
"Nous sommes maintenant en mesure de bâtir notre plan stratégique, d'avoir une vision pour aller jusqu'à l'an 2020 pour que ce plan permette à notre Commission d'être apte à organiser des élections justes, inclusives afin que notre pays reste un pays d'élections propres et soit un pays de stabilité durable", a déclaré le 1er vice-président de la CEI, Koné Sourou, jeudi à la cérémonie de clôture de l'atelier de deux jours.
Au sortir de l'atelier, les commissaires centraux de la CEI se sont davantage familiarisés avec l'administration électorale dans tous ses compartiments tant dans son organisation que dans son fonctionnement pour accomplir sereinement leur mission lors des prochaines élections en Côte d'Ivoire.
"Consciente de l'importance des futurs scrutins sur la vie politique de la Côte d'Ivoire et de l'ampleur de la tâche ainsi que des défis à relever, la CEI a programmé sans perdre de temps la formation pour la mise à niveau des principaux acteurs de la machine électorale pour répondre à l'attente des Ivoiriens", avait indiqué le président de la CEI, Youssouf Bakayoko à l'ouverture des travaux.
Les élections de 2015 sont censées traduire le retour de la paix et la normalisation de la vie politique en Côte d'Ivoire après les violences de novembre 2010.
L'opposition pro-Gbagbo a suspendu sa participation aux travaux de la CEI qu'elle juge déséquilibrée en faveur du pouvoir.
Elle ne s'est toujours pas prononcée en faveur d'un retour de ses représentants à la CEI malgré une loi adoptée récemment par l'Assemblée nationale créant un nouveau poste de vice-président et un autre poste de secrétaire général adjoint pour tenter de faire répondre à ses revendications.
Pour le président de la CEI, "la nouvelle commission résulte d'un dialogue visant à maintenir un climat de confiance et un environnement favorisant la tenue d'élections apaisées".
La CEI réformée compte 17 membres dont un représentant du président de la République, quatre de l'administration, quatre de l'opposition, quatre du pouvoir et quatre de la société civile.