Le Conseil économique et social (CES) a effectué la rentrée solennelle de sa 10è mandature, jeudi 30 octobre, à son siège au Plateau, en présence du chef du Gouvernement, Daniel Kablan Duncan, représentant le Président de la République. Composé de 115 membres dont 11 absents pour cette rentrée, le Conseil économique et social, a pour mission, entres autres, de conseiller le Gouvernement et le Parlement dans l’élaboration de la politique économique et sociale, de contribuer à l’information des citoyens et à l’évaluation des politiques publiques à caractère économique et social, de promouvoir un dialogue constructif et une coopération avec les assemblées consultatives créées auprès des collectivités territoriales, des homologues européens et étrangers.
« L’effectivité du Conseil économique et social finalise la mise en place de toutes les institutions de la République et démontre le retour total à la normalité », a précisé le Premier ministre Duncan qui a souhaité « plein succès aux conseillers ».
Il a préconisé qu’il y ait « une coopération étroite entre le Gouvernement et le Conseil économique et social qui doit servir d’inspirateur à l’action gouvernementale ».
Au nom du président du Conseil économique et social empêché, le vice-président, Tiémoko Yadé Coulibaly, a rendu hommage au Chef de l’Etat, Alassane Ouattara, pour la confiance placée en eux.
M. Coulibaly a exprimé « la disponibilité et la détermination » des conseillers économiques et sociaux « à assurer leurs responsabilités en accomplissant avec rigueur et loyauté les tâches qui leur seront confiées ».
Avant de proposer à ses collaborateurs de porter des « réflexions sur des sujets d’importance tels que « le système éducatif » pour voir l’adaptation de la formation au marché de l’emploi, le secteur bancaire et l’opportunité de la décentralisation dans le développement du pays.
Le Conseil économique et social a été institué par la loi n°60-356 du 3 novembre 2014. Les membres de ce nouveau Conseil économique et social ont été nommés par le Président de la République, lundi 27 octobre, par décret n°2014-642 du 27 octobre 2014 et cette nomination vient en complément des précédentes nominations de M. Marcel Zadi Kessy en qualité de président du CES, par décret n°2011-93 du 13 mai 2011, puis de M. Tiémoko Yadé Coulibaly, en qualité de 1er vice-président, par décret n°2012-373 du 20 avril 2012.
« L’effectivité du Conseil économique et social finalise la mise en place de toutes les institutions de la République et démontre le retour total à la normalité », a précisé le Premier ministre Duncan qui a souhaité « plein succès aux conseillers ».
Il a préconisé qu’il y ait « une coopération étroite entre le Gouvernement et le Conseil économique et social qui doit servir d’inspirateur à l’action gouvernementale ».
Au nom du président du Conseil économique et social empêché, le vice-président, Tiémoko Yadé Coulibaly, a rendu hommage au Chef de l’Etat, Alassane Ouattara, pour la confiance placée en eux.
M. Coulibaly a exprimé « la disponibilité et la détermination » des conseillers économiques et sociaux « à assurer leurs responsabilités en accomplissant avec rigueur et loyauté les tâches qui leur seront confiées ».
Avant de proposer à ses collaborateurs de porter des « réflexions sur des sujets d’importance tels que « le système éducatif » pour voir l’adaptation de la formation au marché de l’emploi, le secteur bancaire et l’opportunité de la décentralisation dans le développement du pays.
Le Conseil économique et social a été institué par la loi n°60-356 du 3 novembre 2014. Les membres de ce nouveau Conseil économique et social ont été nommés par le Président de la République, lundi 27 octobre, par décret n°2014-642 du 27 octobre 2014 et cette nomination vient en complément des précédentes nominations de M. Marcel Zadi Kessy en qualité de président du CES, par décret n°2011-93 du 13 mai 2011, puis de M. Tiémoko Yadé Coulibaly, en qualité de 1er vice-président, par décret n°2012-373 du 20 avril 2012.