Personne, absolument personne n'est à l'abri d'un quelconque danger. Même dans un endroit où on croit être tranquille.
K.K.P, un jeune étudiant, peut très bien en témoigner. A en croire nos sources, le jeudi 23 octobre 2014, après ses activités, le jeune homme rentre à son domicile situé aux 2 Plateaux, à la lisière de la clôture du camp de gendarmerie d'Agban. La nuit tombée, après le repas, il s'étend de tout son long, dans son lit, pour un sommeil qu'il espère réparateur. Mais alors que le sommeil semble frapper à la porte de ses paupières, K.K.P est brusquement tiré de son assoupissement par la détonation d'une arme à feu.
Il est un peu plus de 22h. Mais d'où provient ce coup de feu ? Il veut le comprendre, sans toutefois commettre l'imprudence de mettre... suite de l'article sur Soir Info
K.K.P, un jeune étudiant, peut très bien en témoigner. A en croire nos sources, le jeudi 23 octobre 2014, après ses activités, le jeune homme rentre à son domicile situé aux 2 Plateaux, à la lisière de la clôture du camp de gendarmerie d'Agban. La nuit tombée, après le repas, il s'étend de tout son long, dans son lit, pour un sommeil qu'il espère réparateur. Mais alors que le sommeil semble frapper à la porte de ses paupières, K.K.P est brusquement tiré de son assoupissement par la détonation d'une arme à feu.
Il est un peu plus de 22h. Mais d'où provient ce coup de feu ? Il veut le comprendre, sans toutefois commettre l'imprudence de mettre... suite de l'article sur Soir Info