12 octobre 2006-12 octobre 2014, cela fait 08 ans que Douk Saga, le Président de la Jet Set ivoirienne et créateur du couper-décaler repose à jamais au cimetière de Williamsville.
Décédé au Burkina Faso des suites d'une longue maladie, Douk Saga a été arraché à l'affection des siens alors que son concept musical, le couper-décaler, était entrain de gagner le cœur des Ivoiriens et des mélomanes du monde entier.
C'est début 2003 que Douk Saga et sa clique de boucantiers et jet-setteurs se font découvrir du public ivoirien. Décrisper et déstresser les Ivoiriens en leur apportant la joie de vivre à travers une autre façon de faire la musique afin d'oublier un temps soit peu la crise que traverse à cette époque la Côte d'Ivoire, était l'argument tout trouvé par Douk Saga et ses amis pour imposer leur feeling, leur musique. Et cela ne tardera pas à prendre même si au départ ils ont été confrontés à des critiques acerbes de professionnels de la musique.
Douk Saga a su s'imposer par ses nombreux concepts dont le ''travaillement'', ''le boucan''...Pourtant, 11 ans après la naissance du couper-décaler et 08 ans après le décès de son charismatique créateur, son héritage semble être bradé aux Naijas. Le couper-décaler, l'héritage de Douk Saga, semble avoir été ''vendu'' par ses amis.
En effet, Le Molar, Lino Versace, Borosangui et autres jet-setteurs assistent impuissants à ''l'embargo'' mis sur leur trouvaille par les chanteurs Nigérians désignés par le vocable Naijas. D'ailleurs, Lino Versace reconnaît que l'héritage de Douk Saga a presque fini par leur échapper. ''Le couper-décaler n'est pas loin de la mort. Certains artistes et surtout ceux de la nouvelle génération refusent d'investir sur l'image et le son. Ils ont dégradé, sali et dénaturé notre mouvement. Et c'est pourquoi les Naijas qui sont ambitieux et professionnels ont pris le dessus sur nous'', confiait l'ex-binôme de Bôrôsangui au site linfodrome.com.
Décédé au Burkina Faso des suites d'une longue maladie, Douk Saga a été arraché à l'affection des siens alors que son concept musical, le couper-décaler, était entrain de gagner le cœur des Ivoiriens et des mélomanes du monde entier.
C'est début 2003 que Douk Saga et sa clique de boucantiers et jet-setteurs se font découvrir du public ivoirien. Décrisper et déstresser les Ivoiriens en leur apportant la joie de vivre à travers une autre façon de faire la musique afin d'oublier un temps soit peu la crise que traverse à cette époque la Côte d'Ivoire, était l'argument tout trouvé par Douk Saga et ses amis pour imposer leur feeling, leur musique. Et cela ne tardera pas à prendre même si au départ ils ont été confrontés à des critiques acerbes de professionnels de la musique.
Douk Saga a su s'imposer par ses nombreux concepts dont le ''travaillement'', ''le boucan''...Pourtant, 11 ans après la naissance du couper-décaler et 08 ans après le décès de son charismatique créateur, son héritage semble être bradé aux Naijas. Le couper-décaler, l'héritage de Douk Saga, semble avoir été ''vendu'' par ses amis.
En effet, Le Molar, Lino Versace, Borosangui et autres jet-setteurs assistent impuissants à ''l'embargo'' mis sur leur trouvaille par les chanteurs Nigérians désignés par le vocable Naijas. D'ailleurs, Lino Versace reconnaît que l'héritage de Douk Saga a presque fini par leur échapper. ''Le couper-décaler n'est pas loin de la mort. Certains artistes et surtout ceux de la nouvelle génération refusent d'investir sur l'image et le son. Ils ont dégradé, sali et dénaturé notre mouvement. Et c'est pourquoi les Naijas qui sont ambitieux et professionnels ont pris le dessus sur nous'', confiait l'ex-binôme de Bôrôsangui au site linfodrome.com.