Intégralité du discours de Monsieur Fidèle Sarassoro Directeur de l’Autorité pour le Désarmement, la Démobilisation et la Réintégration a l’occasion du Séminaire international "Désarmement, Démobilisation et Réintégration des Ex-combattants, l’Expérience de la Côte d’Ivoire: Bilan, Enjeux et Perspectives
• Monsieur le Ministre auprès du Président de la République, chargé de la Défense ;
• Madame la Ministre de la Solidarité, de la Famille, de la Femme et de l’Enfant ;
• Madame la Représentante Spéciale du Secrétaire Général des Nations Unies en Côte d’Ivoire ;
• Excellence Madame et Messieurs les Ambassadeurs ;
• Monsieur le Directeur de Cabinet du Ministre délégué auprès du Premier Ministre, chargé de l’Economie et des Finances ;
• Monsieur le Chef d’Etat-major Général des Forces Républicaine de Côte d’Ivoire ;
• Messieurs les Officiers Généraux et Officiers supérieurs ;
• Monsieur le Conseiller Spécial du Président de la République, Secrétaire du Conseil National de sécurité ;
• Messieurs les membres du Conseil de Sécurité ;
• Mesdames et messieurs les Représentants des Organisations bilatérales et multilatérales ;
• Honorable Député à l’Assemblée Nationale ;
• Monsieur le Représentant du Maire de Cocody ;
• Messieurs les Représentants des partis politiques ;
• Madame la Directrice coordonnatrice du Programme National de Cohésion Sociale ;
• Mesdames et messieurs les directeurs centraux et chefs de services ;
• Messieurs les Présidents des chambres consulaires et Chers partenaires du Secteur privé ;
• Distingués invités ;
• Chers participants ;
• Mesdames, messieurs ;
C’est avec un réel plaisir et une grande joie que je prends la parole pour vous souhaiter à tous et à toutes la cordiale bienvenue à ce séminaire qui porte sur le Désarmement, la Démobilisation et la Réintégration des ex-combattants en Côte d’Ivoire.
Je voudrais exprimer ma gratitude au Ministre de la Défense qui, malgré un emploi de temps très chargé, a accepté de présider cet évènement ; témoignage du grand intérêt qu’il accorde au thème de ce séminaire.
Monsieur le Ministre, merci pour votre présence et merci d’avoir accepté de nous entretenir au cours de ce séminaire sur le sujet très important du DDR dans le contexte sécuritaire de la Cote d’Ivoire.
Je voudrais également saluer la présence parmi nous de Madame la Ministre Anne-Désirée Ouloto, Ministre de la Solidarité, de la Famille, de la Femme et de l’Enfant. Madame la Ministre, la collaboration multiforme que l’ADDR entretient avec votre ministère notamment dans le domaine de l’intégration sociale des Ex-combattants nous permet chaque jour d’améliorer nos modes opératoires et la qualité de nos interventions. Soyez en remercier.
Madame et Monsieur les ministres,
Excellences madame et messieurs les ambassadeurs ;
Distingués participants ;
Chers invités,
Ce séminaire est organisé par l’Autorité pour le Désarmement, la Démobilisation et Réintégration des Ex-combattants (ADDR), en étroite collaboration avec l’Opération des Nations Unies en Côte d’Ivoire (ONUCI) et le Programme des Nations Unies pour le Développement (PNUD), deux partenaires qui apportent une contribution technique et financière fort appréciée au processus DDR en Côte d’Ivoire. Aussi, voudrais-je remercier et saluer Madame Mindaoudou,la Représentante Spéciale du Secrétaire Général des Nations Unies en Côte d’Ivoire pour son engagement personnel et l’apport déterminant qu’apportent les Nations Unies au DDR en Côte d’Ivoire, toutes choses qui nous ont permis de faire des avancées significatives.
Mesdames et Messieurs,
Après un peu plus de deux années de mise en œuvre du processus DDR au sein de la Réforme du Secteur de la Sécurité dont il est un volet, l’ADDR et ses partenaires ont estimé qu’il était opportun de faire une pause en vue de faire le bilan des réalisations DDR, tirer les leçons de l’expérience ivoirienne et se projeter dans le futur.
Le DDR est un processus complexe qui, outre sa dimension sécuritaire évidente, présente aussi des dimensions politiques et socio-économiques. Cette complexité exige beaucoup d’humilité de la part des animateurs du processus car les résultats ne sont jamais des acquis définitifs. Ceux-ci ont toujours besoin d’être surveillés, renforcés et consolidés. C’est en cela que les séminaires de ce genre, qui permettent de partager les expériences et les leçons, sont d’une utilité considérable pour les acteurs et les décideurs.
Au cours de ce séminaire, nous aurons à aborder et à échanger sur les liens entre le DDR et la RSS, à présenter le bilan partiel de nos interventions, les défis ainsi que les perspectives. Nous nous proposons de présenter les adaptations qui se sont avérées nécessaires ainsi que les initiatives innovantes prises pour tenir compte du contexte et des évolutions en Côte d’Ivoire.
Ce séminaire sera également l’occasion de prendre connaissance et de tirer profits des expériences DDR en cours en République Démocratique du Congo, en République Centrafricaine et au Mali. C’est l’occasion pour moi de souhaiter la bienvenue aux membres des délégations du Congo, de la Centrafrique et du Mali et de les remercier pour leur présence à ce séminaire.
Dans le même élan, nous attendons beaucoup des experts du Département des Opérations de Maintien de la Paix ainsi que du PNUD. La connaissance qu’ils ont des différents processus DDR dans le monde leur permettra de jeter un regard critique sur l’expérience ivoirienne. Ils seront rejoints dans cet exercice par d’autres spécialistes, tels que le Général Clément Bollée, ancien Commandant de la Force française Licorne en Côte d’Ivoire et le Général Lamine Cissé, ancien Représentant Spécial du Secrétaire Général des Nations Unies en République Centrafricaine.
Mesdames et Messieurs,
En Côte d’Ivoire, l’ADDR, structure qui dépend du Conseil National de Sécurité, bénéficie d’un environnement favorable du fait d’une forte volonté politique, d’une appropriation nationale soutenue, d’une économie en croissance et d’initiatives en cours de réconciliation et de cohésion sociale. Le processus a également bénéficié de l’apport important de plusieurs partenaires. A cet égard, ce séminaire me donne l’occasion de témoigner ma reconnaissance aux membres du Conseil National de Sécurité avec à sa tête le président de la République, Son Excellence Monsieur Alassane Ouattara, ainsi qu’aux partenaires stratégiques et de mise en œuvre de l’ADDR.
Ici je voudrais citer l’Etat-major Général des Forces Républicaine de Côte d’Ivoire, la Gendarmerie Nationale, la ComNat-ALPC, l’ONUCI, le PNUD, le FIDA, la Banque Mondial/PAPC, la Coopération Belge, le Japon, l’Union Européenne, la GIZ, l’ONUDI et la Banque Africaine de Développement. Leur contribution dans le cadre de la coordination générale mise en place par l’ADDR, a permis de mobiliser les ressources techniques et financières nécessaires à l’élaboration des documents stratégiques et des modes opératoires ainsi qu’à la mise en œuvre des interventions sur l’ensemble du territoire.
C’est sur ces mots de reconnaissance et de remerciements que je voudrais clore mes propos et vous remercier pour votre aimable attention.
Fidèle Sarassoro
• Monsieur le Ministre auprès du Président de la République, chargé de la Défense ;
• Madame la Ministre de la Solidarité, de la Famille, de la Femme et de l’Enfant ;
• Madame la Représentante Spéciale du Secrétaire Général des Nations Unies en Côte d’Ivoire ;
• Excellence Madame et Messieurs les Ambassadeurs ;
• Monsieur le Directeur de Cabinet du Ministre délégué auprès du Premier Ministre, chargé de l’Economie et des Finances ;
• Monsieur le Chef d’Etat-major Général des Forces Républicaine de Côte d’Ivoire ;
• Messieurs les Officiers Généraux et Officiers supérieurs ;
• Monsieur le Conseiller Spécial du Président de la République, Secrétaire du Conseil National de sécurité ;
• Messieurs les membres du Conseil de Sécurité ;
• Mesdames et messieurs les Représentants des Organisations bilatérales et multilatérales ;
• Honorable Député à l’Assemblée Nationale ;
• Monsieur le Représentant du Maire de Cocody ;
• Messieurs les Représentants des partis politiques ;
• Madame la Directrice coordonnatrice du Programme National de Cohésion Sociale ;
• Mesdames et messieurs les directeurs centraux et chefs de services ;
• Messieurs les Présidents des chambres consulaires et Chers partenaires du Secteur privé ;
• Distingués invités ;
• Chers participants ;
• Mesdames, messieurs ;
C’est avec un réel plaisir et une grande joie que je prends la parole pour vous souhaiter à tous et à toutes la cordiale bienvenue à ce séminaire qui porte sur le Désarmement, la Démobilisation et la Réintégration des ex-combattants en Côte d’Ivoire.
Je voudrais exprimer ma gratitude au Ministre de la Défense qui, malgré un emploi de temps très chargé, a accepté de présider cet évènement ; témoignage du grand intérêt qu’il accorde au thème de ce séminaire.
Monsieur le Ministre, merci pour votre présence et merci d’avoir accepté de nous entretenir au cours de ce séminaire sur le sujet très important du DDR dans le contexte sécuritaire de la Cote d’Ivoire.
Je voudrais également saluer la présence parmi nous de Madame la Ministre Anne-Désirée Ouloto, Ministre de la Solidarité, de la Famille, de la Femme et de l’Enfant. Madame la Ministre, la collaboration multiforme que l’ADDR entretient avec votre ministère notamment dans le domaine de l’intégration sociale des Ex-combattants nous permet chaque jour d’améliorer nos modes opératoires et la qualité de nos interventions. Soyez en remercier.
Madame et Monsieur les ministres,
Excellences madame et messieurs les ambassadeurs ;
Distingués participants ;
Chers invités,
Ce séminaire est organisé par l’Autorité pour le Désarmement, la Démobilisation et Réintégration des Ex-combattants (ADDR), en étroite collaboration avec l’Opération des Nations Unies en Côte d’Ivoire (ONUCI) et le Programme des Nations Unies pour le Développement (PNUD), deux partenaires qui apportent une contribution technique et financière fort appréciée au processus DDR en Côte d’Ivoire. Aussi, voudrais-je remercier et saluer Madame Mindaoudou,la Représentante Spéciale du Secrétaire Général des Nations Unies en Côte d’Ivoire pour son engagement personnel et l’apport déterminant qu’apportent les Nations Unies au DDR en Côte d’Ivoire, toutes choses qui nous ont permis de faire des avancées significatives.
Mesdames et Messieurs,
Après un peu plus de deux années de mise en œuvre du processus DDR au sein de la Réforme du Secteur de la Sécurité dont il est un volet, l’ADDR et ses partenaires ont estimé qu’il était opportun de faire une pause en vue de faire le bilan des réalisations DDR, tirer les leçons de l’expérience ivoirienne et se projeter dans le futur.
Le DDR est un processus complexe qui, outre sa dimension sécuritaire évidente, présente aussi des dimensions politiques et socio-économiques. Cette complexité exige beaucoup d’humilité de la part des animateurs du processus car les résultats ne sont jamais des acquis définitifs. Ceux-ci ont toujours besoin d’être surveillés, renforcés et consolidés. C’est en cela que les séminaires de ce genre, qui permettent de partager les expériences et les leçons, sont d’une utilité considérable pour les acteurs et les décideurs.
Au cours de ce séminaire, nous aurons à aborder et à échanger sur les liens entre le DDR et la RSS, à présenter le bilan partiel de nos interventions, les défis ainsi que les perspectives. Nous nous proposons de présenter les adaptations qui se sont avérées nécessaires ainsi que les initiatives innovantes prises pour tenir compte du contexte et des évolutions en Côte d’Ivoire.
Ce séminaire sera également l’occasion de prendre connaissance et de tirer profits des expériences DDR en cours en République Démocratique du Congo, en République Centrafricaine et au Mali. C’est l’occasion pour moi de souhaiter la bienvenue aux membres des délégations du Congo, de la Centrafrique et du Mali et de les remercier pour leur présence à ce séminaire.
Dans le même élan, nous attendons beaucoup des experts du Département des Opérations de Maintien de la Paix ainsi que du PNUD. La connaissance qu’ils ont des différents processus DDR dans le monde leur permettra de jeter un regard critique sur l’expérience ivoirienne. Ils seront rejoints dans cet exercice par d’autres spécialistes, tels que le Général Clément Bollée, ancien Commandant de la Force française Licorne en Côte d’Ivoire et le Général Lamine Cissé, ancien Représentant Spécial du Secrétaire Général des Nations Unies en République Centrafricaine.
Mesdames et Messieurs,
En Côte d’Ivoire, l’ADDR, structure qui dépend du Conseil National de Sécurité, bénéficie d’un environnement favorable du fait d’une forte volonté politique, d’une appropriation nationale soutenue, d’une économie en croissance et d’initiatives en cours de réconciliation et de cohésion sociale. Le processus a également bénéficié de l’apport important de plusieurs partenaires. A cet égard, ce séminaire me donne l’occasion de témoigner ma reconnaissance aux membres du Conseil National de Sécurité avec à sa tête le président de la République, Son Excellence Monsieur Alassane Ouattara, ainsi qu’aux partenaires stratégiques et de mise en œuvre de l’ADDR.
Ici je voudrais citer l’Etat-major Général des Forces Républicaine de Côte d’Ivoire, la Gendarmerie Nationale, la ComNat-ALPC, l’ONUCI, le PNUD, le FIDA, la Banque Mondial/PAPC, la Coopération Belge, le Japon, l’Union Européenne, la GIZ, l’ONUDI et la Banque Africaine de Développement. Leur contribution dans le cadre de la coordination générale mise en place par l’ADDR, a permis de mobiliser les ressources techniques et financières nécessaires à l’élaboration des documents stratégiques et des modes opératoires ainsi qu’à la mise en œuvre des interventions sur l’ensemble du territoire.
C’est sur ces mots de reconnaissance et de remerciements que je voudrais clore mes propos et vous remercier pour votre aimable attention.
Fidèle Sarassoro
