Gagnoa – Le chef adjoint du village de Diabouo, à une vingtaine de km au sud de Gagnoa (centre-ouest, région du Gôh), Françaois Gnébéhi Kpaki, plaide pour la réhabilitation du réseau électrique duquel dépend son village.
Bien qu’existant, le réseau électrique de Diabouo, comportant une quarantaine de poteaux, connaît des problèmes au niveau des lampadaires dont la moitié ne s’allume plus depuis belle lurette, signale-t-on.
"Nous nous penchons vers les responsables de la Compagnie ivoirienne d’électricité (CIE), pour leur dire de faire en sorte (...) remplacer au cas où elles sont grillées’’, a affirmé lundi M. Gnébéhi, lors d’un entretien avec l’AIP.
Pour ce chef traditionnel, c’est au contraire dans les villages que les habitants sont relativement exposés aux piqûres de serpents et autres insectes venimeux, à la tombée de la nuit du fait des broussailles qui envahissent les chemins. D’où l’importance d’avoir les lampadaires allumées toutes les nuits.
(AIP)
ja/ask
Bien qu’existant, le réseau électrique de Diabouo, comportant une quarantaine de poteaux, connaît des problèmes au niveau des lampadaires dont la moitié ne s’allume plus depuis belle lurette, signale-t-on.
"Nous nous penchons vers les responsables de la Compagnie ivoirienne d’électricité (CIE), pour leur dire de faire en sorte (...) remplacer au cas où elles sont grillées’’, a affirmé lundi M. Gnébéhi, lors d’un entretien avec l’AIP.
Pour ce chef traditionnel, c’est au contraire dans les villages que les habitants sont relativement exposés aux piqûres de serpents et autres insectes venimeux, à la tombée de la nuit du fait des broussailles qui envahissent les chemins. D’où l’importance d’avoir les lampadaires allumées toutes les nuits.
(AIP)
ja/ask