Un drame a été évité de justesse, le lundi 3 novembre 2014, peu après 20 h, à la frontière ivoiro-libérienne.
C’est qu'à l'origine des événements, un élément des Forces républicaines de Côte d’Ivoire (Frci) prénommé Fani (sans matricule, selon des sources sécuritaires) posté au corridor des villages Blindouba et de Nero Palmci (23 km de Tabou) à la frontière fluviale avec le Libéria voit venir dans la pénombre un taxi conduit par Diomandé Abou. Ce dernier qui « a refusé » de se faire racketter pour un seul passager à déposer juste de l’autre côté du corridor, n’obtempère pas aux injonctions de Fani. Celui-ci prend cet acte comme une défiance. Aussitôt, il prend le taxi-brousse en chasse à bord duquel se trouve également Koné Moustapha,... suite de l'article sur Soir Info
C’est qu'à l'origine des événements, un élément des Forces républicaines de Côte d’Ivoire (Frci) prénommé Fani (sans matricule, selon des sources sécuritaires) posté au corridor des villages Blindouba et de Nero Palmci (23 km de Tabou) à la frontière fluviale avec le Libéria voit venir dans la pénombre un taxi conduit par Diomandé Abou. Ce dernier qui « a refusé » de se faire racketter pour un seul passager à déposer juste de l’autre côté du corridor, n’obtempère pas aux injonctions de Fani. Celui-ci prend cet acte comme une défiance. Aussitôt, il prend le taxi-brousse en chasse à bord duquel se trouve également Koné Moustapha,... suite de l'article sur Soir Info