Le 6 novembre 2004, il y a 10 ans, dix personnes – neuf soldats français et un civil américain – étaient tuées à Bouaké, en Côte d'Ivoire, dans l'attaque du camp militaire de la force Licorne. La réaction de l’armée française, qui détruit la quasi-totalité de l’aviation ivoirienne, conduit alors à des troubles dans lesquels près de 60 personnes seraient mortes. Dix ans après, l’enquête sur l'attaque du camp est toujours au point mort. Un avocat accuse les autorités françaises de bloquer le dossier.
Le 6 novembre 2004, la force Licorne, basée dans le lycée Descartes de Bouaké, est attaquée par deux avions de chasse : des Soukhoïs, pilotés par des mercenaires biélorusses et des copilotes ivoiriens. En réaction, l'armée française détruit la... suite de l'article sur RFI
Le 6 novembre 2004, la force Licorne, basée dans le lycée Descartes de Bouaké, est attaquée par deux avions de chasse : des Soukhoïs, pilotés par des mercenaires biélorusses et des copilotes ivoiriens. En réaction, l'armée française détruit la... suite de l'article sur RFI