Le ministre ivoirien de la Défense Paul Koffi Koffi a indiqué jeudi à Abidjan que le processus de désarmement, de démobilisation et de réinsertion des ex-combattants de la crise ivoirienne crée un climat favorable à la réconciliation nationale.
"Le processus de désarmement, de démobilisation et de réinsertion des ex-combattants a des effets positifs sur l’ environnement national. Il crée un climat favorable à la réconciliation nationale", a déclaré le ministre à l’issue d’une rencontre des acteurs sécuritaires.
Pour le ministre, le désarmement et la réinsertion entraînent par ailleurs une baisse de l’indice d’insécurité et un manque de risque de violence armée.
"L’indice d’insécurité est passé de 3,2 en 2012 à 1,16 en 2014", a-t-il fait remarquer. Selon les autorités sécuritaires, sur 74. 068 ex-combattants identifiés, 44.493 ont été désarmés réinsérés, soit un taux de 60%.
En outre, plus de 28.000 armes et 60.000 munitions ont été collectées dans le cadre du dépôt volontaire des armes et munitions demandé aux anciens belligérants.
"Cela traduit l’efficacité du programme de resocialisation. Beaucoup reste à faire, mais il faut travailler dans une perspective de durabilité", a commenté le ministre de la Défense.
De son avis, il faut élargir la question de la réintégration des ex-combattants démobilisés et entrevoir de façon générale la question de l’emploi des jeunes.
Des milliers de jeunes proches de l’ex-président Laurent Gbagbo et proches du président Alassane Ouattara avaient pris les armes au plus fort de la crise post-électorale pour défendre leurs leaders respectifs. La belligérance étant terminée, les autorités ont initié une campagne de désarmement et de réinsertion dans la perspective d’une pacification effective du pays.
"Le processus de désarmement, de démobilisation et de réinsertion des ex-combattants a des effets positifs sur l’ environnement national. Il crée un climat favorable à la réconciliation nationale", a déclaré le ministre à l’issue d’une rencontre des acteurs sécuritaires.
Pour le ministre, le désarmement et la réinsertion entraînent par ailleurs une baisse de l’indice d’insécurité et un manque de risque de violence armée.
"L’indice d’insécurité est passé de 3,2 en 2012 à 1,16 en 2014", a-t-il fait remarquer. Selon les autorités sécuritaires, sur 74. 068 ex-combattants identifiés, 44.493 ont été désarmés réinsérés, soit un taux de 60%.
En outre, plus de 28.000 armes et 60.000 munitions ont été collectées dans le cadre du dépôt volontaire des armes et munitions demandé aux anciens belligérants.
"Cela traduit l’efficacité du programme de resocialisation. Beaucoup reste à faire, mais il faut travailler dans une perspective de durabilité", a commenté le ministre de la Défense.
De son avis, il faut élargir la question de la réintégration des ex-combattants démobilisés et entrevoir de façon générale la question de l’emploi des jeunes.
Des milliers de jeunes proches de l’ex-président Laurent Gbagbo et proches du président Alassane Ouattara avaient pris les armes au plus fort de la crise post-électorale pour défendre leurs leaders respectifs. La belligérance étant terminée, les autorités ont initié une campagne de désarmement et de réinsertion dans la perspective d’une pacification effective du pays.