Le processus de désarmement et de réinsertion des ex-combattants de la crise militaro-politique ivoirienne devra prendre fin en juin 2015, a-t-on appris vendredi auprès de l'Autorité pour le Désarmement, la Démobilisation et la Réintégration des Ex-combattants (ADDR).
Le directeur général de l'ADDR, Fidèle Sarassoro, a exhorté tous les acteurs à redoubler d'efforts pour le respect de ce chronogramme pour que les anciens belligérants prennent part au développement du pays.
"Nous sommes tous fiers des résultats constatés sur le terrain. Les témoignages des ex-combattants rencontrés sur les différents sites nous confortent dans l'idée qu'ils seront de bons citoyens une fois retournés chez eux", a indiqué M. Sarassoro.
"Le désarmement et la réinsertion constituent un processus complexe qui, outre la dimension sécuritaire évidente, présentent aussi des dimensions politiques et socio-économiques", a-t-il ajouté.
M. Sarassoro a également indiqué que le socle d'un processus de désarmement, de démobilisation et de réinsertion est la cohésion sociale.
"Il convient d'évacuer la peur et les méfiances", a énoncé M. Sarassoro.
Selon les autorités sécuritaires, sur plus de 74 000 ex- combattants identifiés, 44 493 ont été désarmés réinsérés, soit un taux de 60%.
En outre, plus de 28 000 armes et 60 000 munitions ont été collectées dans le cadre du dépôt volontaire des armes et munitions des anciens belligérants.
Selon la source officielle, le programme de démobilisation et de réinsertion des ex-belligérants va coûter 92 milliards de FCFA (140 millions d'euros).
Le directeur général de l'ADDR, Fidèle Sarassoro, a exhorté tous les acteurs à redoubler d'efforts pour le respect de ce chronogramme pour que les anciens belligérants prennent part au développement du pays.
"Nous sommes tous fiers des résultats constatés sur le terrain. Les témoignages des ex-combattants rencontrés sur les différents sites nous confortent dans l'idée qu'ils seront de bons citoyens une fois retournés chez eux", a indiqué M. Sarassoro.
"Le désarmement et la réinsertion constituent un processus complexe qui, outre la dimension sécuritaire évidente, présentent aussi des dimensions politiques et socio-économiques", a-t-il ajouté.
M. Sarassoro a également indiqué que le socle d'un processus de désarmement, de démobilisation et de réinsertion est la cohésion sociale.
"Il convient d'évacuer la peur et les méfiances", a énoncé M. Sarassoro.
Selon les autorités sécuritaires, sur plus de 74 000 ex- combattants identifiés, 44 493 ont été désarmés réinsérés, soit un taux de 60%.
En outre, plus de 28 000 armes et 60 000 munitions ont été collectées dans le cadre du dépôt volontaire des armes et munitions des anciens belligérants.
Selon la source officielle, le programme de démobilisation et de réinsertion des ex-belligérants va coûter 92 milliards de FCFA (140 millions d'euros).