La 3e édition du festival international de danses traditionnelle et contemporaine de Lomé, dénommée Baarè (danse en langue locale), qui aura lieu du 14 au 16 novembre, connaîtra la participation de six pays africains, a annoncé vendredi la promotrice Sodji Juliette.
Il s'agit du Bénin, du Burkina Faso, du Ghana, du Mali, du Niger et du Togo, qui auront non seulement à présenter en danse mais aussi à offrir au public des nouveautés comme les luttes traditionnelle et codifiée lors de cette édition.
Les Maliens sont attendus avec leurs masques.
Ce festival, initié par l'ONG "ADOPROC/Compagnie Sojaf", une association de promotion culturelle, a pour objectif d'"oeuvrer au rapprochement des peuples de la sous-région et surtout d'impliquer la jeune génération dans la sauvegarde, la modernisation et la diffusion des patrimoines ancestraux immatériels", a confié Mme Sodji.
Le festival s'enrichit de nouvelles activités, notamment les Evala (lutte) internationaux de Lomé, une occasion d'admirer les performances des lutteurs traditionnels "Kabyè", invités à se produire pour la première fois en dehors de leur région (la Kara) et des empoignades plus rudes de lutteurs professionnels nigériens.
Il s'agit du Bénin, du Burkina Faso, du Ghana, du Mali, du Niger et du Togo, qui auront non seulement à présenter en danse mais aussi à offrir au public des nouveautés comme les luttes traditionnelle et codifiée lors de cette édition.
Les Maliens sont attendus avec leurs masques.
Ce festival, initié par l'ONG "ADOPROC/Compagnie Sojaf", une association de promotion culturelle, a pour objectif d'"oeuvrer au rapprochement des peuples de la sous-région et surtout d'impliquer la jeune génération dans la sauvegarde, la modernisation et la diffusion des patrimoines ancestraux immatériels", a confié Mme Sodji.
Le festival s'enrichit de nouvelles activités, notamment les Evala (lutte) internationaux de Lomé, une occasion d'admirer les performances des lutteurs traditionnels "Kabyè", invités à se produire pour la première fois en dehors de leur région (la Kara) et des empoignades plus rudes de lutteurs professionnels nigériens.