Ça pourrait paraître banal et pourtant le sujet a créé l’émeute et continue de défrayer la chronique. Une guérison telle qu’on n’en voit pas couramment. A vrai dire, un miracle. La particularité, c’est que c’est la concernée même qui livre son propre récit devant témoin.
Maman Aboa Appo Bernadette, car c’est d’elle qu’il s’agit , ne s’est pas embarrassé de fioritures pour dire comment elle est passée de la mort à la vie . La commerçante de 50 ans vit dans la commune de Treichville entourée des siens. Selon elle, tout est parti d’un simple malaise pour aboutir à une grave maladie qui va la clouer au lit pendant trois ans. Désemparée, résignée et en proie au désespoir, dame Bernadette va trouver son salut dans un miracle opéré selon elle par la puissance de Dieu au travers un de ses puissants serviteurs, l’Apôtre Yao Bio, président de l’Eglise de pentecôte de Côte d’Ivoire. Depuis, elle s’est déclarée messagère des bienfaits de Dieu. D’où ce témoignage qu’elle a souhaité rendre avec insistance dans les colonnes de votre quotidien préféré : « Le Démocrate » . Récit. « Un soir, je sentais la fatigue et j’ai acheté un médicament à la pharmacie. Après la prise de ce médicament, toute la nuit, j’ai senti des douleurs atroces. Ensuite, le mal s’est répandu dans mes reins et dans mes os. Puis, il est apparu une grosse boule dans mon ventre. Je ne pouvais ni me lever ni marcher. J’étais à la charge de mes enfants et de ma famille. Cela a duré trois ans. Je souffrais énormément de douleur quand un jour ma fille est venue me parler d’un homme de Dieu en me disant qu’il prie pour les malades et Dieu fait beaucoup de miracles à travers lui. Je n’avais plus le choix car j’ai fait tous les examens possibles et rien n’y fit. Malgré son âge l’Apôtre a accepté de venir jusqu’à chez moi. Dès qu’il m’a vu, il m’a rassuré que je ne mourrai pas et que par la grâce et la puissance de Dieu, je serai guérie.
Après avoir prié pour moi, il m’a ordonné de me lever et de le suivre dehors. Sur le champ, j’ai commencé à marcher et à le suivre. Il m’a demandé de courir et je l’ai fait. Lorsque ma fille m’a vu sortir en marchant, elle a crié et toute la cour était dans l’étonnement. Le miracle venait de se produire. Et depuis lors, je n’ai plus jamais senti de mal. J’ai jeté tous les médicaments qui étaient dans mon placard. Désormais, j’ai la pleine conviction que rien n’est impossible à Dieu ».
Maman Aboa Appo Bernadette, car c’est d’elle qu’il s’agit , ne s’est pas embarrassé de fioritures pour dire comment elle est passée de la mort à la vie . La commerçante de 50 ans vit dans la commune de Treichville entourée des siens. Selon elle, tout est parti d’un simple malaise pour aboutir à une grave maladie qui va la clouer au lit pendant trois ans. Désemparée, résignée et en proie au désespoir, dame Bernadette va trouver son salut dans un miracle opéré selon elle par la puissance de Dieu au travers un de ses puissants serviteurs, l’Apôtre Yao Bio, président de l’Eglise de pentecôte de Côte d’Ivoire. Depuis, elle s’est déclarée messagère des bienfaits de Dieu. D’où ce témoignage qu’elle a souhaité rendre avec insistance dans les colonnes de votre quotidien préféré : « Le Démocrate » . Récit. « Un soir, je sentais la fatigue et j’ai acheté un médicament à la pharmacie. Après la prise de ce médicament, toute la nuit, j’ai senti des douleurs atroces. Ensuite, le mal s’est répandu dans mes reins et dans mes os. Puis, il est apparu une grosse boule dans mon ventre. Je ne pouvais ni me lever ni marcher. J’étais à la charge de mes enfants et de ma famille. Cela a duré trois ans. Je souffrais énormément de douleur quand un jour ma fille est venue me parler d’un homme de Dieu en me disant qu’il prie pour les malades et Dieu fait beaucoup de miracles à travers lui. Je n’avais plus le choix car j’ai fait tous les examens possibles et rien n’y fit. Malgré son âge l’Apôtre a accepté de venir jusqu’à chez moi. Dès qu’il m’a vu, il m’a rassuré que je ne mourrai pas et que par la grâce et la puissance de Dieu, je serai guérie.
Après avoir prié pour moi, il m’a ordonné de me lever et de le suivre dehors. Sur le champ, j’ai commencé à marcher et à le suivre. Il m’a demandé de courir et je l’ai fait. Lorsque ma fille m’a vu sortir en marchant, elle a crié et toute la cour était dans l’étonnement. Le miracle venait de se produire. Et depuis lors, je n’ai plus jamais senti de mal. J’ai jeté tous les médicaments qui étaient dans mon placard. Désormais, j’ai la pleine conviction que rien n’est impossible à Dieu ».
