«Dire non à la mort politique du président Gbagbo comme l’avait prédit Choi». C’est l’autre sens que Justin Koua a donné à la candidature du président Gbagbo au prochain congrès du Fpi prévu pour se tenir du 11 au 14 décembre 2014. Pour Koua, qui animait, samedi, un meeting à Nahio (sous-préfecture de Saïoua), l’objectif de ceux qui ont amené le président Gbagbo à la Cpi, c’est de l’écarter de la scène politique nationale. Le secrétaire national chargé de la politique de la jeunesse estime que les militants du Fpi doivent faire barrage à cette idée en remettant à nouveau le parti au président Gbagbo. «Quand ses bourreaux auront compris qu’il est incontournable, ils seront contraints de le libérer pour discuter avec lui».
Pour Justin Koua, le choix de Gbagbo est aussi le choix de la dignité et de l’honneur : «Même à la Cpi, Gbagbo reste digne. On lui a demandé un arrangement politique dans lequel on lui demande d’accepter stratégiquement d’avoir perdu les élections présidentielles pour le libérer. Mais Gbagbo leur a dit non. «Allez demander au peuple ivoirien qui a gagné les élections. Et cela ne peut se faire qu’à travers le recomptage des voix. Je ne trahirai jamais mon peuple. Je veux rester digne, même si je dois mourir». Justin Koua estime que les Ivoiriens et particulièrement les militants du Fpi n’ont pas le droit d’abandonner un tel homme qui ne jure que par le peuple au détriment des intérêts égoïstes et mesquins.
BOGA Sivori
Pour Justin Koua, le choix de Gbagbo est aussi le choix de la dignité et de l’honneur : «Même à la Cpi, Gbagbo reste digne. On lui a demandé un arrangement politique dans lequel on lui demande d’accepter stratégiquement d’avoir perdu les élections présidentielles pour le libérer. Mais Gbagbo leur a dit non. «Allez demander au peuple ivoirien qui a gagné les élections. Et cela ne peut se faire qu’à travers le recomptage des voix. Je ne trahirai jamais mon peuple. Je veux rester digne, même si je dois mourir». Justin Koua estime que les Ivoiriens et particulièrement les militants du Fpi n’ont pas le droit d’abandonner un tel homme qui ne jure que par le peuple au détriment des intérêts égoïstes et mesquins.
BOGA Sivori