Nairobi (Kenya) - Une réunion de haut niveau regroupant notamment des ministres de l'Elevage des Etats membres de l'Union africaine, se tient vendredi au Bureau inter-africain des ressources animalières de l'UA (UA-BIRA) à Nairobi en vue de discuter d'une nouvelle stratégie de développement de l'élevage dans le continent.
La mise en place d'une nouvelle stratégie est souhaitée dans un contexte de forte demande en produits animaliers. Mieux, les tendances indiquent que la demande entre 2030-2050, va être multipliée par deux et pourrait même aller jusqu'à huit en raison de l'augmentation rapide des populations urbaines et des revenus.
‘'Cette demande croissante pourrait conduire à une insuffisance dans la fourniture de protéines animales de qualité, avec un impact négatif sur la sécurité alimentaire et la nutrition en Afrique'', selon un un communiqué rendu public par les organisateurs de l'événement.
L'UA-BIRA a averti que l'Afrique pourrait être contrainte d'importer son déficit en produis animaliers et alourdir par conséquent sa facture d'importation et s'exposer à un risque réel de crise alimentaire.
En outre, plus d'investissement dans ce secteur peut s'avérer crucial dans les efforts pour assurer la sécurité alimentaire en Afrique et résorber un autre fléau dont souffre le continent à savoir le chômage des jeunes
JK/daj/pn/cat/APA
La mise en place d'une nouvelle stratégie est souhaitée dans un contexte de forte demande en produits animaliers. Mieux, les tendances indiquent que la demande entre 2030-2050, va être multipliée par deux et pourrait même aller jusqu'à huit en raison de l'augmentation rapide des populations urbaines et des revenus.
‘'Cette demande croissante pourrait conduire à une insuffisance dans la fourniture de protéines animales de qualité, avec un impact négatif sur la sécurité alimentaire et la nutrition en Afrique'', selon un un communiqué rendu public par les organisateurs de l'événement.
L'UA-BIRA a averti que l'Afrique pourrait être contrainte d'importer son déficit en produis animaliers et alourdir par conséquent sa facture d'importation et s'exposer à un risque réel de crise alimentaire.
En outre, plus d'investissement dans ce secteur peut s'avérer crucial dans les efforts pour assurer la sécurité alimentaire en Afrique et résorber un autre fléau dont souffre le continent à savoir le chômage des jeunes
JK/daj/pn/cat/APA