Le Front populaire ivoirien ( FPI, de Laurent Gbagbo) et ses alliés annoncent le retour de leurs représentants au sein de la Commission électorale indépendante ( CEI) en prévision des élections de 2015.
Dans un communiqué publié jeudi, l'Alliance des forces démocratiques (AFD) qui regroupe 12 partis politiques favorables à l'ex-président Laurent Gbagbo a invité ses deux représentants à " reprendre leur place au sein de la CEI".
L'AFD a suspendu sa participation aux travaux du bureau central de la CEI en septembre, jugeant l'institution "déséquilibrée" au profit du pouvoir.
Elle dénonçait également la réélection de Youssouf Bakayoko à la tête de la CEI et appelait à la mise en place d'un "bureau consensuel". Le bureau central de la CEI compte neuf membres dont deux représentants de "petits partis" de l'opposition qui n'ont pas boycotté la CEI.
Début octobre, l'Assemblée nationale a voté une loi proposée par le gouvernement et modifiant la composition du bureau de la CEI, avec la création d'un autre poste de vice-président et d'un poste de secrétaire général adjoint pour ramener les partisans de Laurent Gbagbo. "Nous voulons jouer notre partition, mais nous ne voulons pas non plus être simplement, au niveau de la CEI, des faire-valoir ou occuper des strapontins", a déclaré mardi la vice-présidente de l' AFD, Danièle Boni-Claverie au sortir d'une rencontre avec le ministre de l'Intérieur.
"Nous voulons rentrer et continuer à participer au jeu politique", a-t-elle martelé non sans souligner que les partis alliés ne sont "ni des irréductibles ni des va-t'en guerre".
La CEI, dans sa nouvelle composition, compte 17 membres dont un représentant du président de la République, quatre représentants des partis au pouvoir, quatre représentants de l' opposition, quatre représentants de l'administration et quatre représentants de la société civile.
Les élections prévues en octobre 2015 sont censées ramener la paix et traduire le retour à une vie politique normale en Côte d' Ivoire après les violences post-électorales en 2010-2011.
Dans un communiqué publié jeudi, l'Alliance des forces démocratiques (AFD) qui regroupe 12 partis politiques favorables à l'ex-président Laurent Gbagbo a invité ses deux représentants à " reprendre leur place au sein de la CEI".
L'AFD a suspendu sa participation aux travaux du bureau central de la CEI en septembre, jugeant l'institution "déséquilibrée" au profit du pouvoir.
Elle dénonçait également la réélection de Youssouf Bakayoko à la tête de la CEI et appelait à la mise en place d'un "bureau consensuel". Le bureau central de la CEI compte neuf membres dont deux représentants de "petits partis" de l'opposition qui n'ont pas boycotté la CEI.
Début octobre, l'Assemblée nationale a voté une loi proposée par le gouvernement et modifiant la composition du bureau de la CEI, avec la création d'un autre poste de vice-président et d'un poste de secrétaire général adjoint pour ramener les partisans de Laurent Gbagbo. "Nous voulons jouer notre partition, mais nous ne voulons pas non plus être simplement, au niveau de la CEI, des faire-valoir ou occuper des strapontins", a déclaré mardi la vice-présidente de l' AFD, Danièle Boni-Claverie au sortir d'une rencontre avec le ministre de l'Intérieur.
"Nous voulons rentrer et continuer à participer au jeu politique", a-t-elle martelé non sans souligner que les partis alliés ne sont "ni des irréductibles ni des va-t'en guerre".
La CEI, dans sa nouvelle composition, compte 17 membres dont un représentant du président de la République, quatre représentants des partis au pouvoir, quatre représentants de l' opposition, quatre représentants de l'administration et quatre représentants de la société civile.
Les élections prévues en octobre 2015 sont censées ramener la paix et traduire le retour à une vie politique normale en Côte d' Ivoire après les violences post-électorales en 2010-2011.