La Brigade de la Salubrité urbaine a effectué mardi 18 novembre dans la commune de Marcory, une opération de répression dans le cadre de l’application du décret n°2013-327 du 22 mai 2013, portant interdiction de la production, de l’importation, de la commercialisation, de la détention et de l’utilisation des sachets plastiques sur l’ensemble du territoire national. Le commissaire Pamphile Téhé Monné, commandant de la Brigade de la Salubrité urbaine a conduit cette opération dénommée « opération zéro sachets plastiques dans le district d’Abidjan » mise en œuvre par l’Agence nationale de la Salubrité urbaine (ANASUR).
Cette opération témoigne selon le commissaire Pamphile Téhé Monné de la détermination du ministère de l’Environnement, de la Salubrité urbaine et du Développement durable à faire appliquer la mesure d’interdiction des sachets plastiques.
Sur les lieux, notamment sur le trajet du bus 04, et au marché de Marcory, les équipes de la brigade, accompagnées des forces de l’ordre, ont saisi les marchandises des vendeurs d’eau et de rafraichissements en sachet, non sans leur faire comprendre que l’interdiction de l’utilisation des sachets plastiques est entrée dans sa phase de répression.
Lancé depuis le 10 novembre 2014, les opérations de répression ont été menées dans les communes de Cocody, Plateau, Koumassi, Treichville et Port-Bouët.
A ce jour, a mentionné le commandant de la brigade de salubrité, 9 personnes ont été déférées au parquet et 300 autres verbalisées. Le nombre de saisies porte sur plus de 2000 packs de sachets d’eau.
Les personnes qui enfreignent la mesure d’interdiction courent une peine de 15 à 20 ans de prison et une amende de 100 mille à 100 millions fcfa d’amende.
Cette opération témoigne selon le commissaire Pamphile Téhé Monné de la détermination du ministère de l’Environnement, de la Salubrité urbaine et du Développement durable à faire appliquer la mesure d’interdiction des sachets plastiques.
Sur les lieux, notamment sur le trajet du bus 04, et au marché de Marcory, les équipes de la brigade, accompagnées des forces de l’ordre, ont saisi les marchandises des vendeurs d’eau et de rafraichissements en sachet, non sans leur faire comprendre que l’interdiction de l’utilisation des sachets plastiques est entrée dans sa phase de répression.
Lancé depuis le 10 novembre 2014, les opérations de répression ont été menées dans les communes de Cocody, Plateau, Koumassi, Treichville et Port-Bouët.
A ce jour, a mentionné le commandant de la brigade de salubrité, 9 personnes ont été déférées au parquet et 300 autres verbalisées. Le nombre de saisies porte sur plus de 2000 packs de sachets d’eau.
Les personnes qui enfreignent la mesure d’interdiction courent une peine de 15 à 20 ans de prison et une amende de 100 mille à 100 millions fcfa d’amende.