Abidjan (Côte d’Ivoire) - L’inter connectivité des fibres optiques est une solution pour la construction de l’Afrique, a soutenu vendredi soir à Abidjan, Seybou Saley, membre du Comité d’orientation de la cellule d’appui aux partenariats public-privé, en marge de la 6ème conférence africaine des PPP.
"L’inter connectivité des fibres optiques permettra de construire l’Afrique. On ne peut pas construire ce continent si chacun reste dans son coin. Il faut une connexion entre les Etats et une connexion entre l’ensemble de ces Etats et le privé", a déclaré le nigérien Seybou Saley, dans un entretien, accordé à APA, en marge de la 6ème conférence africaine des PPP.
Pour atteindre cet objectif, M. Saley pense qu’une harmonisation des textes législatifs des différents pays s’impose. "Les travaux sur cette harmonisation des textes a déjà commencé au niveau de la Communauté économique des Etats de l’Afrique de l’Ouest (CEDEAO), ainsi qu’au niveau de l’Union économique monétaire ouest-africaine (UEMOA)", a-t-il expliqué.
La fibre optique est un fil de verre transparent très fin qui conduit un signal lumineux codé permettant de véhiculer une large quantité d’informations. Elle a un débit d’informations nettement supérieur à celui du cuivre téléphonique classique, des câbles coaxiaux des antennes d’immeubles, de l’ADSL et du Wi-Fi.
Elle supporte un réseau large bande par lequel peuvent transiter simultanément aussi bien la télévision, le téléphone, la visioconférence ou le Web.
La Côte d’Ivoire est le premier pays francophone à abriter cette conférence après la Tunisie (les deux premières éditions), le Kenya, le Nigeria et l’Afrique du Sud. Cette 6è édition dans la capitale économique ivoirienne s’est déroulée du 19 au 21 novembre autour du thème, "promouvoir des PPP viables au bénéfice des générations futures".
SB/ls/APA
"L’inter connectivité des fibres optiques permettra de construire l’Afrique. On ne peut pas construire ce continent si chacun reste dans son coin. Il faut une connexion entre les Etats et une connexion entre l’ensemble de ces Etats et le privé", a déclaré le nigérien Seybou Saley, dans un entretien, accordé à APA, en marge de la 6ème conférence africaine des PPP.
Pour atteindre cet objectif, M. Saley pense qu’une harmonisation des textes législatifs des différents pays s’impose. "Les travaux sur cette harmonisation des textes a déjà commencé au niveau de la Communauté économique des Etats de l’Afrique de l’Ouest (CEDEAO), ainsi qu’au niveau de l’Union économique monétaire ouest-africaine (UEMOA)", a-t-il expliqué.
La fibre optique est un fil de verre transparent très fin qui conduit un signal lumineux codé permettant de véhiculer une large quantité d’informations. Elle a un débit d’informations nettement supérieur à celui du cuivre téléphonique classique, des câbles coaxiaux des antennes d’immeubles, de l’ADSL et du Wi-Fi.
Elle supporte un réseau large bande par lequel peuvent transiter simultanément aussi bien la télévision, le téléphone, la visioconférence ou le Web.
La Côte d’Ivoire est le premier pays francophone à abriter cette conférence après la Tunisie (les deux premières éditions), le Kenya, le Nigeria et l’Afrique du Sud. Cette 6è édition dans la capitale économique ivoirienne s’est déroulée du 19 au 21 novembre autour du thème, "promouvoir des PPP viables au bénéfice des générations futures".
SB/ls/APA