Abidjan – Après le scrutin de dimanche à la présidentielle tunisienne, l’on s’achemine vers un second tour qui devra opposer le candidat favori, Béji Caïd Essebsi, et le président sortant, Moncef Marzouki.
Dès la fermeture des bureaux et de vote et pendant que se tenait encore le dépouillement, les candidats ont commencé à se manifester.
Béji Caïd Essebsi, favori de la première élection présidentielle tunisienne depuis la révolution de 2011, se voyait déjà en tête.
Le camp du chef du parti Nida Tounès assure que son candidat est "premier de la course". Selon son directeur de campagne, Béji Caïd Essebsi, 87 ans, n'est "pas très loin des 50%". Se basant sur des premières estimations, il assure qu'un deuxième tour est "probable".
Pour sa part, l'équipe du président sortant, Moncef Marzouki, donne d'autres résultats selon lesquels les deux hommes sont au coude à coude et un second tour se profile à l'horizon. Une probabilité confirmée par un sondage à la sortie des urnes.
En effet, malgré l'interdiction de leur publication, la télévision d'Etat tunisienne a annoncé un premier sondage réalisé à la sortie des urnes par l'institut 3C plaçant Béji Caïd Essebsi (47,8%) loin devant Moncef Marzouki (26,9%).
Le président de l'instance électorale (ISIE), Chafik Sarsar, a jusqu'à mercredi pour annoncer les résultats et la tenue d'un éventuel second tour fin décembre, si aucun candidat n'a obtenu de majorité absolue au vote de dimanche.
Vers 16H30’, soit une heure et demie avant la fermeture des bureaux de vote, le taux de participation atteignait 53,73%.
Au total, 27 candidats se sont présentés pour ce scrutin historique. Près de 5,3 millions d'électeurs étaient appelés aux urnes, un mois après la tenue des législatives dont le caractère démocratique a été salué par la communauté internationale.
cmas
Dès la fermeture des bureaux et de vote et pendant que se tenait encore le dépouillement, les candidats ont commencé à se manifester.
Béji Caïd Essebsi, favori de la première élection présidentielle tunisienne depuis la révolution de 2011, se voyait déjà en tête.
Le camp du chef du parti Nida Tounès assure que son candidat est "premier de la course". Selon son directeur de campagne, Béji Caïd Essebsi, 87 ans, n'est "pas très loin des 50%". Se basant sur des premières estimations, il assure qu'un deuxième tour est "probable".
Pour sa part, l'équipe du président sortant, Moncef Marzouki, donne d'autres résultats selon lesquels les deux hommes sont au coude à coude et un second tour se profile à l'horizon. Une probabilité confirmée par un sondage à la sortie des urnes.
En effet, malgré l'interdiction de leur publication, la télévision d'Etat tunisienne a annoncé un premier sondage réalisé à la sortie des urnes par l'institut 3C plaçant Béji Caïd Essebsi (47,8%) loin devant Moncef Marzouki (26,9%).
Le président de l'instance électorale (ISIE), Chafik Sarsar, a jusqu'à mercredi pour annoncer les résultats et la tenue d'un éventuel second tour fin décembre, si aucun candidat n'a obtenu de majorité absolue au vote de dimanche.
Vers 16H30’, soit une heure et demie avant la fermeture des bureaux de vote, le taux de participation atteignait 53,73%.
Au total, 27 candidats se sont présentés pour ce scrutin historique. Près de 5,3 millions d'électeurs étaient appelés aux urnes, un mois après la tenue des législatives dont le caractère démocratique a été salué par la communauté internationale.
cmas