Abidjan - Dans un communiqué diffusé mardi, l'Elysée annonce que la France reporte de nouveau la livraison du premier navire Mistral à la Russie, en raison de la situation dans l'est de l'Ukraine.
Les autorités françaises avaient annoncé qu'elles prendraient leur décision avant fin novembre.
La Russie ne va pas "pour l'instant" poursuivre en justice la France, a immédiatement déclaré le vice-ministre russe de la Défense, Iouri Borissov. "Nous allons attendre avec patience", a-t-il affirmé.
"Le président de la République considère que la situation actuelle dans l’est de l’Ukraine ne permet toujours pas la livraison du premier BPC (bâtiments de projection et de commandement Mistral). Il a donc estimé qu’il convenait de surseoir, jusqu’à nouvel ordre, à l’examen de la demande d’autorisation nécessaire à l’exportation du premier BPC à la Fédération de Russie", indique le communiqué.
Le 14 novembre, Moscou avait lancé un ultimatum à Paris menaçant de présenter de "sérieuses réclamations" financières en cas de non respect du contrat.
(AIP)
cmas
Les autorités françaises avaient annoncé qu'elles prendraient leur décision avant fin novembre.
La Russie ne va pas "pour l'instant" poursuivre en justice la France, a immédiatement déclaré le vice-ministre russe de la Défense, Iouri Borissov. "Nous allons attendre avec patience", a-t-il affirmé.
"Le président de la République considère que la situation actuelle dans l’est de l’Ukraine ne permet toujours pas la livraison du premier BPC (bâtiments de projection et de commandement Mistral). Il a donc estimé qu’il convenait de surseoir, jusqu’à nouvel ordre, à l’examen de la demande d’autorisation nécessaire à l’exportation du premier BPC à la Fédération de Russie", indique le communiqué.
Le 14 novembre, Moscou avait lancé un ultimatum à Paris menaçant de présenter de "sérieuses réclamations" financières en cas de non respect du contrat.
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