Gagnoa, 25 nov (AIP) – Franck Zéato, 26 ans, a été condamné mardi à 12 mois de prison ferme, pour tentative d’évasion de la maison d’arrêt et de correction de Gagnoa, dans la nuit du 28 au 29 mars 2013.
Le jour des faits, plusieurs prisonniers de la maison d’arrêt et de correction de Gagnoa qui purgeaient de lourdes peines entre 10 ans et 20 ans, décident de prendre le large. A l’aide d’objets contondants, dont nul ne sait comment ils ont pu les obtenir, ces quidams font un trou dans le mur de la prison.
Puis, profitant d’une pluie battante, ils disparaissent dans la nuit noire. Au tour de Zéato Franck de s’enfuir du lieu de détention, sa silhouette est aperçu par les garde pénitentiaires qui le prennent en chasse et le rattrape un peu plus loin.
A la barre, le prévenu déclare: ‘‘Certes je me suis évadé mais je n’ai pas participé à l’opération qui consistait à faire un trou dans le mur de la prison pour pouvoir respirer l’air de la liberté.’’
Selon lui, le plan de l’opération a été conduit de bout en bout par les détenus qui purgeaient de lourdes peines d’emprisonnement.
‘‘Au début, je ne voulais pas les imiter. Mais ils m’ont dit que si je restais, je serai seul à payer pour leur évasion’’, a expliqué au juge Zéato, qui avait été interpellé au moment des faits avec certains des bagnards fugitifs.
(AIP)
ja/tm
Le jour des faits, plusieurs prisonniers de la maison d’arrêt et de correction de Gagnoa qui purgeaient de lourdes peines entre 10 ans et 20 ans, décident de prendre le large. A l’aide d’objets contondants, dont nul ne sait comment ils ont pu les obtenir, ces quidams font un trou dans le mur de la prison.
Puis, profitant d’une pluie battante, ils disparaissent dans la nuit noire. Au tour de Zéato Franck de s’enfuir du lieu de détention, sa silhouette est aperçu par les garde pénitentiaires qui le prennent en chasse et le rattrape un peu plus loin.
A la barre, le prévenu déclare: ‘‘Certes je me suis évadé mais je n’ai pas participé à l’opération qui consistait à faire un trou dans le mur de la prison pour pouvoir respirer l’air de la liberté.’’
Selon lui, le plan de l’opération a été conduit de bout en bout par les détenus qui purgeaient de lourdes peines d’emprisonnement.
‘‘Au début, je ne voulais pas les imiter. Mais ils m’ont dit que si je restais, je serai seul à payer pour leur évasion’’, a expliqué au juge Zéato, qui avait été interpellé au moment des faits avec certains des bagnards fugitifs.
(AIP)
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