Gagnoa – Agohou Jean a été condamné mardi à trois mois de prison ferme et à 50.000 FCFA d’amende par le tribunal de Gagnoa, pour filoutage au domicile d’un muezzin absent de chez lui au moment des faits.
A l’origine des faits délictueux mis à la charge du maraudeur, la visite très matinale de la maison du muezzin du village de Tchédjélet, village natal du président du conseil des chefs de village du département de Gagnoa, Gbizié Lambert.
Parti à 4 heures du matin, le 9 octobre, comme à l’accoutumée, pour appeler les fidèles musulmans à la prière du matin, le muezzin offre une aubaine rêvée à Agohou Jean, tapis dans l’ombre, d’y faire irruption en fracturant la porte d’entrée du salon.
Dans la pièce principale, le voleur ne trouve rien d’important. Il ne s’y trouve qu’un tapis de prière, des corans et des chapelets, en plus de bouilloires bien rangés dans un coin. Ces objets sans valeur n’intéressent pas le visiteur impénitent qui décide de voir dans les chambres, à la recherche d’objets bien plus précieux à ses yeux.
Prenant son temps, il fouillait la maison de fond en comble, se disant que sa victime ne rentrerait pas de si tôt, d’autant que du salon, il entendait le propriétaire des lieux s’égosiller dans le haut parleur, invitant ses coreligionnaires à venir louer Allah.
Le filou finit par trouver des objets à emporter qui ne sont autres qu’une boîte de produit agricole, un tapis et une torche.
"Mille jours pour le voleur, un jour pour le propriétaire", comme le dit l'adage, Agohou Jean n’en finissait pas de tourner en rond dans la maison du muezzin, ignorant que la prière matinale était achever et que le muezzin faisait le chemin de retour.
A quelques mètres de son domicile, l’homme de Dieu constate avec stupéfaction que sa porte est entrouverte et même fracturée. Dans ses interrogations de savoir ce qui se passait chez lui, il voit son voleur sortir de la maison avec un baluchon. Il donne immédiatement l’alerte. Aidé de ses amis, le muezzin parvient à maitriser le malfrat qui a été jugé pour les faits de vol.
(AIP)
ja/tm
A l’origine des faits délictueux mis à la charge du maraudeur, la visite très matinale de la maison du muezzin du village de Tchédjélet, village natal du président du conseil des chefs de village du département de Gagnoa, Gbizié Lambert.
Parti à 4 heures du matin, le 9 octobre, comme à l’accoutumée, pour appeler les fidèles musulmans à la prière du matin, le muezzin offre une aubaine rêvée à Agohou Jean, tapis dans l’ombre, d’y faire irruption en fracturant la porte d’entrée du salon.
Dans la pièce principale, le voleur ne trouve rien d’important. Il ne s’y trouve qu’un tapis de prière, des corans et des chapelets, en plus de bouilloires bien rangés dans un coin. Ces objets sans valeur n’intéressent pas le visiteur impénitent qui décide de voir dans les chambres, à la recherche d’objets bien plus précieux à ses yeux.
Prenant son temps, il fouillait la maison de fond en comble, se disant que sa victime ne rentrerait pas de si tôt, d’autant que du salon, il entendait le propriétaire des lieux s’égosiller dans le haut parleur, invitant ses coreligionnaires à venir louer Allah.
Le filou finit par trouver des objets à emporter qui ne sont autres qu’une boîte de produit agricole, un tapis et une torche.
"Mille jours pour le voleur, un jour pour le propriétaire", comme le dit l'adage, Agohou Jean n’en finissait pas de tourner en rond dans la maison du muezzin, ignorant que la prière matinale était achever et que le muezzin faisait le chemin de retour.
A quelques mètres de son domicile, l’homme de Dieu constate avec stupéfaction que sa porte est entrouverte et même fracturée. Dans ses interrogations de savoir ce qui se passait chez lui, il voit son voleur sortir de la maison avec un baluchon. Il donne immédiatement l’alerte. Aidé de ses amis, le muezzin parvient à maitriser le malfrat qui a été jugé pour les faits de vol.
(AIP)
ja/tm