Après deux rendez-vous manqués pour les élections départementales à Zuénoula, le RDR est à la croisée des chemins. Face aux manigances et coups bas qui surgissent de partout, le secrétaire départemental Zan-Bi Goï a lancé un véritable cri du cœur, samedi dernier. Il s’en remet au président Ouattara.
C’est à son domicile de la Riviera II que l’honorable Zan-Bi Goï Ferdinand, secrétaire départemental par intérim du RDR à Zuénoula a prononcé samedi dernier une conférence de presse. Au menu, la question de la tenue de l’élection du secrétaire départemental RDR à Zuénoula et subséquemment la vie du parti dans le département. Zan-Bi Goï Ferdinand qui, dans le couci de démêler l’écheveau, a convié à une rencontre les quatre (4) principaux candidats au poste de départemental à Zuénoula a essuyé une fin de non-recevoir de la part de trois (3) candidats.
Ce sont Ibla Bi, Djê Néné et Botti Maurice. « J’ai été joint par mon aîné Ouga Bi qui m’a dit que ces trois (3) candidats l’ont mandaté pour me dire qu’ils ne peuvent jamais venir chez moi. Et qu’ils veulent juste aller aux élections », a tenu à dire d’un air dépité Zan-Bi. Se présentant comme l’icône du RDR à Zuénoula, Zan-BI Goï dit être à bout de souffle face aux agissements de nombreux cadres du parti qui, à l’en croire, travaillent à nuire au parti au pouvoir dans cette zone. « Je m’en peux plus de supporter les agissements de ces militants qui foulent aux pieds les valeurs de notre parti et sabotent nos acquis chèrement construits.
Je suis à bout de souffle et je me lave les mains », a-t-il dit. En clair, Zan-Bi Goï Ferdinand se dessaisit de la conduite des affaires du parti à Zuénoula. Même s’il prévient qu’il ne laissera personne détruire le RDR à Zuénoula. D’ailleurs, soucieux de la vitalité du parti à Zuénoula, il lance un cri du cœur à l’endroit du président Alassane Ouattara. « Le Président Ouattara me connaît bien. Il m’a personnellement reçu quand j’ai adhéré en 2001, au RDR. Nous nous sommes dit des choses. Et comme, je n’ai plus la chance de le rencontrer, comme par le passé, je souhaite qu’il donne de fermes instructions pour que le RDR ne plonge pas dans les profondeurs abyssales à Zuénoula », plaide-t-il. Car, avec une population de 148 480 habitants, le département compte prendre une part importante à la réélection du président Ouattara. Et cela, selon Zan Bi Goï ne peut se faire qu’en ne remettant pas le parti aux militants de la 25e heure et aux bourreaux d’hier.
C’est à son domicile de la Riviera II que l’honorable Zan-Bi Goï Ferdinand, secrétaire départemental par intérim du RDR à Zuénoula a prononcé samedi dernier une conférence de presse. Au menu, la question de la tenue de l’élection du secrétaire départemental RDR à Zuénoula et subséquemment la vie du parti dans le département. Zan-Bi Goï Ferdinand qui, dans le couci de démêler l’écheveau, a convié à une rencontre les quatre (4) principaux candidats au poste de départemental à Zuénoula a essuyé une fin de non-recevoir de la part de trois (3) candidats.
Ce sont Ibla Bi, Djê Néné et Botti Maurice. « J’ai été joint par mon aîné Ouga Bi qui m’a dit que ces trois (3) candidats l’ont mandaté pour me dire qu’ils ne peuvent jamais venir chez moi. Et qu’ils veulent juste aller aux élections », a tenu à dire d’un air dépité Zan-Bi. Se présentant comme l’icône du RDR à Zuénoula, Zan-BI Goï dit être à bout de souffle face aux agissements de nombreux cadres du parti qui, à l’en croire, travaillent à nuire au parti au pouvoir dans cette zone. « Je m’en peux plus de supporter les agissements de ces militants qui foulent aux pieds les valeurs de notre parti et sabotent nos acquis chèrement construits.
Je suis à bout de souffle et je me lave les mains », a-t-il dit. En clair, Zan-Bi Goï Ferdinand se dessaisit de la conduite des affaires du parti à Zuénoula. Même s’il prévient qu’il ne laissera personne détruire le RDR à Zuénoula. D’ailleurs, soucieux de la vitalité du parti à Zuénoula, il lance un cri du cœur à l’endroit du président Alassane Ouattara. « Le Président Ouattara me connaît bien. Il m’a personnellement reçu quand j’ai adhéré en 2001, au RDR. Nous nous sommes dit des choses. Et comme, je n’ai plus la chance de le rencontrer, comme par le passé, je souhaite qu’il donne de fermes instructions pour que le RDR ne plonge pas dans les profondeurs abyssales à Zuénoula », plaide-t-il. Car, avec une population de 148 480 habitants, le département compte prendre une part importante à la réélection du président Ouattara. Et cela, selon Zan Bi Goï ne peut se faire qu’en ne remettant pas le parti aux militants de la 25e heure et aux bourreaux d’hier.