Divo, Une trentaine de jeunes de diverses structures associatives de la commune de Divo ont participé mercredi à un atelier de formation sur l’apport du volontariat et le bénévolat dans le développement local.
Cette rencontre avait entres autres objectifs de montrer aux participants les nuances entre le bénévolat et le volontariat et de les encourager s’intéresser aux actions d’intérêt communautaire sans rien en attendre en retour.
"Nous voulons enlever la confusion qu’il y a entre ces deux notions et amener les jeunes à comprendre le programme qui est en train d’être mis en place au niveau national, c'est-à-dire le programme national de volontariat. C’est un programme qui concerne les jeunes en priorité", a déclaré Mlle Ahoua Sata, par ailleurs sous-directrice de la promotion du volontariat et des programmes communautaires à la direction de la vie associative au ministère de la promotion de la jeunesse, des sports et loisirs.
"Le gouvernement a décidé qu’au lieu que chaque fois qu’il y a besoin les volontaires viennent d’ailleurs pour nous aider, qu’il y ait ici un programme de volontaires prêts à intervenir. Nous allons donc avoir en Côte d’Ivoire un corps national de volontaires", a-t-elle expliqué.
"On apprend beaucoup à être bénévole.
Si vous attendez forcément à gagner de l’argent, vous perdrez beaucoup plus dans ces activités", a-t-elle indiqué aux auditeurs.
Mlle Ahoua a encouragé la jeunesse de Divo à entreprendre les actions de volontariat sans toujours attendre que les initiatives viennent des autorités locales.
Elle les a ensuite exhorté à se tenir prêts à intégrer la base de données nationale de volontaires qui sera mise en place après les expériences pilotes dans les régions du Tonkpi et du Gbêkê.
Du 1er au 31 octobre une trentaine de jeunes se sont portés volontaires à l’appel de la direction départementale de la jeunesse, des sports et loisirs. Ils ont affirmé leurs valeurs de solidarité, de don de soi et de l’amour du prochain.
(AIP)
gso/kam
Cette rencontre avait entres autres objectifs de montrer aux participants les nuances entre le bénévolat et le volontariat et de les encourager s’intéresser aux actions d’intérêt communautaire sans rien en attendre en retour.
"Nous voulons enlever la confusion qu’il y a entre ces deux notions et amener les jeunes à comprendre le programme qui est en train d’être mis en place au niveau national, c'est-à-dire le programme national de volontariat. C’est un programme qui concerne les jeunes en priorité", a déclaré Mlle Ahoua Sata, par ailleurs sous-directrice de la promotion du volontariat et des programmes communautaires à la direction de la vie associative au ministère de la promotion de la jeunesse, des sports et loisirs.
"Le gouvernement a décidé qu’au lieu que chaque fois qu’il y a besoin les volontaires viennent d’ailleurs pour nous aider, qu’il y ait ici un programme de volontaires prêts à intervenir. Nous allons donc avoir en Côte d’Ivoire un corps national de volontaires", a-t-elle expliqué.
"On apprend beaucoup à être bénévole.
Si vous attendez forcément à gagner de l’argent, vous perdrez beaucoup plus dans ces activités", a-t-elle indiqué aux auditeurs.
Mlle Ahoua a encouragé la jeunesse de Divo à entreprendre les actions de volontariat sans toujours attendre que les initiatives viennent des autorités locales.
Elle les a ensuite exhorté à se tenir prêts à intégrer la base de données nationale de volontaires qui sera mise en place après les expériences pilotes dans les régions du Tonkpi et du Gbêkê.
Du 1er au 31 octobre une trentaine de jeunes se sont portés volontaires à l’appel de la direction départementale de la jeunesse, des sports et loisirs. Ils ont affirmé leurs valeurs de solidarité, de don de soi et de l’amour du prochain.
(AIP)
gso/kam
