Yamoussoukro, Le responsable régional de la division des droits de l'homme de l'Opération des Nations Unis en Côte d'Ivoire (ONUCI) basée à Yamoussoukro (centre région du Bélier), Hubert Olawolé Mongadji Chabi a demandé jeudi, lors d'un atelier organisé à Didiévi que le règlement à l'amiable sur les violences basées sur le genre soit désormais évité parce que constituant ''une épine'' dans la lutte contre le mal.
''Les auteurs de viol et de violence doivent être punis parce que tout acte de viol a des conséquences néfastes sur la femme et les enfants'' a déclaré M. Mongadji, lors de l'atelier organisé à l'intention de la société civile, les ONG partenaires et les chefs des villages de Didiévi, autour du thème ''les droits de l'homme, les droits de la femme la violence basée sur le genre VBG)''.
M. Mongadji a confié qu'il y a beaucoup de cas de violence sur les femmes, notamment sur les filles de moins de 18 ans. Il a exhorté en conséquence les participants à l'atelier surtout les chefs de villages à renoncer aux règlements à l'amiable et à répercuter l'information dans leurs localités pour que cessent les violations de droits de la femme.
L'atelier d'un jour a porté sur les droits et protections de la femme et de la jeune fille, l'accès des victimes de VBG à la justice, l'importance de lutter contre les règlements à l'amiable, et la prise en charge psychosociale des victimes de VBG.
(AIP)
nam/kam
''Les auteurs de viol et de violence doivent être punis parce que tout acte de viol a des conséquences néfastes sur la femme et les enfants'' a déclaré M. Mongadji, lors de l'atelier organisé à l'intention de la société civile, les ONG partenaires et les chefs des villages de Didiévi, autour du thème ''les droits de l'homme, les droits de la femme la violence basée sur le genre VBG)''.
M. Mongadji a confié qu'il y a beaucoup de cas de violence sur les femmes, notamment sur les filles de moins de 18 ans. Il a exhorté en conséquence les participants à l'atelier surtout les chefs de villages à renoncer aux règlements à l'amiable et à répercuter l'information dans leurs localités pour que cessent les violations de droits de la femme.
L'atelier d'un jour a porté sur les droits et protections de la femme et de la jeune fille, l'accès des victimes de VBG à la justice, l'importance de lutter contre les règlements à l'amiable, et la prise en charge psychosociale des victimes de VBG.
(AIP)
nam/kam