A des milliers de kilomètres de la Côte d’Ivoire, l’ex-président Laurent Gbagbo, depuis sa cellule de la Cour pénale internationale de La Haye, cherche à reprendre la direction de son parti, scénario ubuesque qui ravit le pouvoir avant la présidentielle de 2015.
Sur le bitume défoncé et brûlant d’Abidjan, une multitude de journaux retenus par des pierres regorgent d’anciennes photos officielles de Gbagbo en une, et de sa "lettre de candidature" signée à La Haye le 25 novembre dernier.
"J’accepte d’être candidat" à la présidence du Front populaire ivoirien (FPI), écrit M. Gbagbo, 69 ans, dans un courrier certifié par un notaire.
"La Côte d’Ivoire a toujours eu besoin d’un FPI fort, rassemblé et uni", poursuit-il,... suite de l'article sur Jeune Afrique
Sur le bitume défoncé et brûlant d’Abidjan, une multitude de journaux retenus par des pierres regorgent d’anciennes photos officielles de Gbagbo en une, et de sa "lettre de candidature" signée à La Haye le 25 novembre dernier.
"J’accepte d’être candidat" à la présidence du Front populaire ivoirien (FPI), écrit M. Gbagbo, 69 ans, dans un courrier certifié par un notaire.
"La Côte d’Ivoire a toujours eu besoin d’un FPI fort, rassemblé et uni", poursuit-il,... suite de l'article sur Jeune Afrique