Bouaflé - L’Autorité pour le désarmement, la démobilisation et la réinsertion (ADDR) a organisé, samedi, une journée socioculturelle et sportive à Akoviebo, localité située à 15 km de Bouaflé (Centre-ouest, région de la Marahoué).
Cette journée vise à raffermir et consolider la cohésion et la cohabitation entre les stagiaires de l’ADDR et la communauté villageoise d’Akoviebo, site d’accueil du centre de resocialisation des ex-combattants.
Le chef de bureau ADDR de Séguéla, Diaby Oumar, a exprimé sa fierté, car, selon lui, l’objectif à travers la resocialisation est un acquis pour les ex-combattants. Il a remercié la population d’Akoviebo pour l’accueil réservé aux stagiaires.
M. Diaby a souhaité que les stagiaires connaissent une réintégration sociale réussie à travers un certain nombre d’attitudes acquises dans le "Vivre ensemble" prôné par le président Alassane Ouattara.
Quant au sous-préfet de Bouaflé, Angoh Aristide, il a invité les stagiaires à mettre en pratique la formation acquise durant leur séjour au centre de resocialisation.
M. Angoh a indiqué que les ex-combattants accompagnent le processus de réconciliation dans le pays et sont des exemples de la cohésion sociale.
Cette journée a été précédée d’une opération "coups de balais" dans le village et de la pose de peinture sur les bâtiments de l’école primaire publique d’Akoviebo par les ex-combattants du centre de resocialisation situé au sein de l’école de faunes et des aires protégées (EFAP) de Bouaflé.
Des sketchs abordant des thèmes comme le désarmement, le mariage forcé et la sensibilisation sur la cohabitation pacifique ont été interprétés par les ex-combattants, suivis de deux matchs de football (masculin et féminin) opposant les stagiaires et aux jeunes d’Akoviebo.
L’une des missions de l’ADDR est de réduire le risque de violences armées et assurer la sécurité par le désarmement, la démobilisation et la réinsertion des ex-combattants.
L’Autorité a aussi pour objectif de renforcer la lutte contre la pauvreté par le développement de schémas de réintégration économique viable et une réhabilitation communautaire induite.
La quatrième vague des ex-combattants en formation à l’EFAP compte 652 stagiaires dont 32 filles.
(AIP)
Zaar/kp
Cette journée vise à raffermir et consolider la cohésion et la cohabitation entre les stagiaires de l’ADDR et la communauté villageoise d’Akoviebo, site d’accueil du centre de resocialisation des ex-combattants.
Le chef de bureau ADDR de Séguéla, Diaby Oumar, a exprimé sa fierté, car, selon lui, l’objectif à travers la resocialisation est un acquis pour les ex-combattants. Il a remercié la population d’Akoviebo pour l’accueil réservé aux stagiaires.
M. Diaby a souhaité que les stagiaires connaissent une réintégration sociale réussie à travers un certain nombre d’attitudes acquises dans le "Vivre ensemble" prôné par le président Alassane Ouattara.
Quant au sous-préfet de Bouaflé, Angoh Aristide, il a invité les stagiaires à mettre en pratique la formation acquise durant leur séjour au centre de resocialisation.
M. Angoh a indiqué que les ex-combattants accompagnent le processus de réconciliation dans le pays et sont des exemples de la cohésion sociale.
Cette journée a été précédée d’une opération "coups de balais" dans le village et de la pose de peinture sur les bâtiments de l’école primaire publique d’Akoviebo par les ex-combattants du centre de resocialisation situé au sein de l’école de faunes et des aires protégées (EFAP) de Bouaflé.
Des sketchs abordant des thèmes comme le désarmement, le mariage forcé et la sensibilisation sur la cohabitation pacifique ont été interprétés par les ex-combattants, suivis de deux matchs de football (masculin et féminin) opposant les stagiaires et aux jeunes d’Akoviebo.
L’une des missions de l’ADDR est de réduire le risque de violences armées et assurer la sécurité par le désarmement, la démobilisation et la réinsertion des ex-combattants.
L’Autorité a aussi pour objectif de renforcer la lutte contre la pauvreté par le développement de schémas de réintégration économique viable et une réhabilitation communautaire induite.
La quatrième vague des ex-combattants en formation à l’EFAP compte 652 stagiaires dont 32 filles.
(AIP)
Zaar/kp