Situation morose pour l’industrie plastique ivoirienne. Depuis le 08 novembre 2014 l’interdiction de la production, de l’importation, de la commercialisation, de l’utilisation et de la détention des sachets plastiques en Côte d’Ivoire est effective. Cette mesure a des répercussions très importantes pour les entreprises qui craignent pour la survie de l’industrie plastique en Côte d’Ivoire.
Machines à l’arrêt, usines tournant au ralenti, c’est la situation qui prévaut dans la plupart des entreprises de l’industrie plastique ivoirienne. En cause la mesure d’interdiction de production et commercialisation des sachets plastiques pour préserver l’environnement. L’interdiction concerne également les sachets plastiques bio-dégradables. En 2013 la Côte d’Ivoire a produit 200.000 tonnes de sachets plastiques dont 140.000 tonnes ont été exportées. Pour les entreprises du secteur l’impact est catastrophique.
« C’est une baisse de 70% de notre production à évidemment le chiffre d’affaires passera également à 70% de perte si la loi est toujours appliquée. Actuellement la permanence est assurée par les embauchés. Nous avons 70 personnes mais si la crise continue on sera obligé de déposer le bilan à la fin de l’année. » s’inquiète Abass Baddredine directeur général de Plastica
La mesure d’interdiction des sachets plastiques a également un impact très important au niveau social avec des licenciements massifs.
Selon Jean-Baptiste Yavo Responsable des ressources humaines de Plastica ce sont " 400 employés qui mis au chômage technique"
Même son de cloche à Acipac où 500 journalier sont au chômage. " pour ce mois décembre nous allons licencier encore une centaine affirme Youssef Ezzedine le directeur général.
C’est le 08 novembre 2014 qu’est entrée en vigueur l’interdiction de la production, de l’importation, de la commercialisation, de l’utilisation et de la détention des sachets plastiques en Côte d’Ivoire. Les contrevenants s’exposent à des amendes et des peines de prison.
Machines à l’arrêt, usines tournant au ralenti, c’est la situation qui prévaut dans la plupart des entreprises de l’industrie plastique ivoirienne. En cause la mesure d’interdiction de production et commercialisation des sachets plastiques pour préserver l’environnement. L’interdiction concerne également les sachets plastiques bio-dégradables. En 2013 la Côte d’Ivoire a produit 200.000 tonnes de sachets plastiques dont 140.000 tonnes ont été exportées. Pour les entreprises du secteur l’impact est catastrophique.
« C’est une baisse de 70% de notre production à évidemment le chiffre d’affaires passera également à 70% de perte si la loi est toujours appliquée. Actuellement la permanence est assurée par les embauchés. Nous avons 70 personnes mais si la crise continue on sera obligé de déposer le bilan à la fin de l’année. » s’inquiète Abass Baddredine directeur général de Plastica
La mesure d’interdiction des sachets plastiques a également un impact très important au niveau social avec des licenciements massifs.
Selon Jean-Baptiste Yavo Responsable des ressources humaines de Plastica ce sont " 400 employés qui mis au chômage technique"
Même son de cloche à Acipac où 500 journalier sont au chômage. " pour ce mois décembre nous allons licencier encore une centaine affirme Youssef Ezzedine le directeur général.
C’est le 08 novembre 2014 qu’est entrée en vigueur l’interdiction de la production, de l’importation, de la commercialisation, de l’utilisation et de la détention des sachets plastiques en Côte d’Ivoire. Les contrevenants s’exposent à des amendes et des peines de prison.