Le Fonds monétaire international (FMI) a approuvé un décaissement de 94,7 millions de dollars pour la Côte d’Ivoire après une revue de l’accord au titre du programme "facilité élargie de crédit" conclu après la crise post-électorale en 2011,
Faisant cette annonce mercredi à la suite d’une entrevue avec le Premier ministre ivoirien Daniel Kablan Duncan, le directeur adjoint du département Afrique du FMI, Abé Selassie, a jugé " satisfaisante" la croissance de 9% enregistrée par la Côte d’Ivoire.
"Cette dynamique va se poursuivre car les perspectives macroéconomiques, à court terme, restent favorables grâce à la persistance d’un investissement public élevé et à l’augmentation de l’investissement privé", a-t-il estimé.
M. Selassie a ajouté que "les progrès réalisés" ne doivent pas faire perdre de vue que "beaucoup restent à faire".
Il s’agit notamment des "réformes structurelles supplémentaires " pour améliorer le climat des affaires et la gouvernance afin d’encourager l’investissement du secteur privé et de réduire la dépendance de la stratégie de croissance à l’égard du secteur public, de la prise de mesures pour régulariser les arriérés intérieurs et payer les subventions au secteur de l’électricité dont le versement a été retardé ainsi que de l’adoption de mesures supplémentaires pour améliorer la situation financière dans le secteur de l’énergie à moyen terme.
"Vous pouvez compter sur le soutien du FMI", a dit au Premier ministre ivoirien, le directeur Afrique du FMI présent en Côte d’Ivoire pour un séjour de 48 heures.
L’économie de la Côte d’Ivoire s’est relancée après deux décennies de récession dues aux crises militaro-politiques et affiche en 2014 un taux de croissance de 9%, selon les autorités ivoiriennes.
Le pays a conclu avec le FMI en novembre 2011 un accord de " facilité élargie de crédit" qui vient d’être prolongé de 12 mois avec une augmentation de l’accès aux ressources du FMI de près de 190 millions de dollars dont 47,4 millions au titre des besoins supplémentaires générés par la lutte contre l’épidémie d’Ebola. Les déboursements accordés au total atteignent 615,9 millions de dollars.
Faisant cette annonce mercredi à la suite d’une entrevue avec le Premier ministre ivoirien Daniel Kablan Duncan, le directeur adjoint du département Afrique du FMI, Abé Selassie, a jugé " satisfaisante" la croissance de 9% enregistrée par la Côte d’Ivoire.
"Cette dynamique va se poursuivre car les perspectives macroéconomiques, à court terme, restent favorables grâce à la persistance d’un investissement public élevé et à l’augmentation de l’investissement privé", a-t-il estimé.
M. Selassie a ajouté que "les progrès réalisés" ne doivent pas faire perdre de vue que "beaucoup restent à faire".
Il s’agit notamment des "réformes structurelles supplémentaires " pour améliorer le climat des affaires et la gouvernance afin d’encourager l’investissement du secteur privé et de réduire la dépendance de la stratégie de croissance à l’égard du secteur public, de la prise de mesures pour régulariser les arriérés intérieurs et payer les subventions au secteur de l’électricité dont le versement a été retardé ainsi que de l’adoption de mesures supplémentaires pour améliorer la situation financière dans le secteur de l’énergie à moyen terme.
"Vous pouvez compter sur le soutien du FMI", a dit au Premier ministre ivoirien, le directeur Afrique du FMI présent en Côte d’Ivoire pour un séjour de 48 heures.
L’économie de la Côte d’Ivoire s’est relancée après deux décennies de récession dues aux crises militaro-politiques et affiche en 2014 un taux de croissance de 9%, selon les autorités ivoiriennes.
Le pays a conclu avec le FMI en novembre 2011 un accord de " facilité élargie de crédit" qui vient d’être prolongé de 12 mois avec une augmentation de l’accès aux ressources du FMI de près de 190 millions de dollars dont 47,4 millions au titre des besoins supplémentaires générés par la lutte contre l’épidémie d’Ebola. Les déboursements accordés au total atteignent 615,9 millions de dollars.
