Grève de militaires, barrages, coups de feu dans Abidjan après l'arrestation vendredi d'un ex-chef de guerre: les rebelles ayant aidé Alassane Ouattara à arriver au pouvoir en Côte d'Ivoire, après son élection mouvementée fin 2010, n'en finissent pas de gêner le régime.
Les incidents impliquant les ex-combattants se multiplient depuis novembre. "Ce sont des mouvements d'humeur qui peuvent arriver. Mais à chaque fois l'ordre est instauré", rassure Bruno Koné, le porte-parole du gouvernement.
Alors qu'une présidentielle est prévue en octobre 2015, l'image d'une Côte d'Ivoire apaisée vantée par les autorités s'émiette toutefois au rythme des incidents.
Abidjan a "attendu trois ans pour neutraliser les rebelles, pour les marginaliser, les mettre au placard.... suite de l'article sur Jeune Afrique
Les incidents impliquant les ex-combattants se multiplient depuis novembre. "Ce sont des mouvements d'humeur qui peuvent arriver. Mais à chaque fois l'ordre est instauré", rassure Bruno Koné, le porte-parole du gouvernement.
Alors qu'une présidentielle est prévue en octobre 2015, l'image d'une Côte d'Ivoire apaisée vantée par les autorités s'émiette toutefois au rythme des incidents.
Abidjan a "attendu trois ans pour neutraliser les rebelles, pour les marginaliser, les mettre au placard.... suite de l'article sur Jeune Afrique